Pauline écoutait de la musique. Elle était joyeuse, en forme et tout et tout. C’est les vacances, adieu les cours, les devoirs et vive les potes, la musique, le théâtre et autres activités dont-elle raffole. Oui la Molière était ravie. Elle mit le bordel dans sa chambre et rangea ensuite mais elle était tellement heureuse…Tellement heureuse, qu’elle mit sans faire exprès un coup dans le pot de fleur situé sur la fenêtre. Les yeux ronds elle se précipita vers la fenêtre. Bon ba voilà elle devait aller le ramasser. Elle ferma la porte à clé et ce précipita en bas. Elle n’avait pas prévu que quelqu’un voit ou entende le pot tomber et elle stoppa nette. Oups, il y a quelqu’un. Bon elle avait un devoir et elle n’allait pas le laissait trainer devant. Elle du donc s’approcher de la jeune fille. Les yeux gris de Pauline l’observèrent, elle n’était pas de la maison Molière en tout cas car elle ne l’avait jamais vu. En même temps l’académie est grande et personne ne connait tout le monde. Elle prévient son arrivé.

-Excuse moi…Tu n’as rien de casser ? Je suis désolé je n’ai pas fais attention…

Pauline observa son pot en miette. Tans pis. Elle en reprendrait un autre. Certes sa mère lui demanderait pourquoi mais ce n’était pas grave. Qu’il lui restait peut être un pot en haut. Mais bon elle n’allait pas se trimballer avec la plante dans ses mains. Elle se pencha et ramassa les morceaux du pot et alla le jetais dans la poubelle juste à coté. Ensuite elle retourne près de la jeune fille. Celle-ci a du la regarder faire en la prenant pour une folle. Non ce n’était pas le cas, elle le jurait.

- Si tu veux moi et Mia on a des pots dans la chambre je veux bien t'en donner un. Et merci je vais bien. Je suis arrivée quand le pot de fleurs était déjà par terre

Les pommettes de la fille avait prit une teinte coloré. Sans vraiment attendre l’avis de Pauline, elle monta en haut dans sa chambre comme elle l’avait dit. Pendant ce temps Pauline ramassa son géranium. Il était beau, c’est vrai que c’était triste s’il devait mourir à cause de l’excitation de la Molière à être en vacance. Pauline sourit de la situation. C’était vraiment stupide cette histoire. Mais bon la l’autre fille avait l’air sympa alors pourquoi pas. Quelques minutes après celle-ci redescendit un petit peu essoufflé peut être. Pauline observait comment marché la jeune fille, une démarche souple et légère. Peut être Cygne alors ou alors Beethoven. Elle n’arrivait pas vraiment à ce déterminé.

-Merci beaucoup pour le pot de fleur… Je m’appelle Pauline et toi ?

Pauline attendit que la fille lui tende le pot pour y mettre le défunt géranium. La Molière espérait qu’il survivrait à cette horrible chute. Elle n’avait jamais été doué avec les plantes sa mère lui avait déjà dis, ses frères lui avait déjà dit. Ce géranium était une fierté, un véritable exploit même. Alors elle ne voulait pas le gâcher aussi stupidement. Ce serait vraiment trop bête.

-La prochaine fois je ferrais plus attention…