Winter -014-015 - Pear, Spark & Lastie
 
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 parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. (alex) [sujet olé olé]

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Frida Calloway
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MessageSujet: parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. (alex) [sujet olé olé]   parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. (alex) [sujet olé olé] EmptySam 17 Mai - 13:53

alexander et frida

Citation :
Samedi 17 Mai  à 15:33 ~ le temps est plein d'éclaircies et un peu nuageux ~ 1072 mots
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]La salle de danse était totalement libre, ce qui m'étonna quand j'y rentrai. Pourtant à deux heures de l'après-midi elle devait être au moins réservée par deux personnes mais finalement, il s'avéra qu'elle était vide. Bien heureuse, j'y entrain et allumai les lumières une à une. Elle était très grande, on pouvait s'y exprimer librement, c'était quelque chose que j'aimais en ce lieu. Tellement de personnes avaient pu montrer ce qu'ils ressentaient au plus profond d'eux même sur ce sol abîmé, et j'en faisais bien entendue partie, même si je me sentais atrocement vide. C'était le mot qui me représentait le plus ; vide. C'était peu flatteur, mais c'était la vérité. Je ne me connaissais même pas moi-même, je ne me souvenait plus de mon caractère et je ne savais pas quel était le véritable but que je poursuivais dans la vie, hormis devenir une danseuse reconnue. A quoi bon se droguer et se détruire de l'intérieur, me direz-vous, mais quand on a personne pour vous dire de stopper, on continue. La moitié de l'école était au courant de mes petites activités concernant la drogue mais tous restaient muets comme des débiles ou me scrutaient d'une œil méfiant quand je sortais une cigarette ordinaire. Les gens peuvent êtres stupides quelques fois. Mais ce qui reste certain c'est que la danse reste ma raison de vivre, même si je ne le montre pas forcément. J'ai obtenu la bourse d'études en passant une audition pour l'obtenir. Je n'aurais jamais pensé une seconde l'avoir mais il se trouve que par un heureux hasard, la personne devant moi s'est désistée car elle avait été admise à la Juilliard High School, ce qui est mieux qu'Artistic Academy mais qui reste tout de même avec un niveau d'exigence dix fois meilleur. J'ai donc été acceptée pour la bourse et je crois que je n'ai jamais autant été heureuse de toute ma vie. Quitter ma mère n'a pas été un grand déchirement pour moi, ce n'était pas comme si je la voyais tous les jours, en fait j'étais plutôt sa mère en y repensant. Là n'est pas le véritable sujet de ma venue, j'ai une vie dure et je le prouve en dansant. Je mets un morceau au pif et je me place au centre de la pièce, recroquevillée sur moi-même pour entendre les premières notes du morceau et libérer mon corps. Quand je danse, j'ai l'impression que mon démon intérieur s'en va pour le temps de la chanson et qu'il revient comme une sangsue juste après, pour continuer de me pourrir de l'intérieur.

Mon démon se pavane à côté de moi durant la danse, avec un sourire que je ne connais trop bien et les dernières notes sonnent. Il reprend possession de mon corps. Je n'y prête peu d'attention et retire mon CD du lecteur pour partir de cette pièce. Une danse, c'était trop demander ? Mais j'ai envie de pleurer en repensant à tous mes souvenirs. Je frappe contre un mur. Je suis conne des fois. Je me suis bousillée la main, un mec qui passe me regarde avec les yeux ronds, baisse les yeux et trace sa route. Il a dû croire qu'il s'agissait des effets de la drogue mais ce n'est pas ça. Je pousse un gémissement étouffé. Je cours dans ma chambre en pleurs. Pleurer n'est pas dans mes habitudes mais là, je ne sais pas ce qu'il m'arrive. Tant pis, qui s'en soucie ? Je m'étale sur mon lit et laisse les spasmes me secouer. Puis je m'endors. Je pense que la fatigue a beaucoup joué sur mes émotions, les répétitions se font de plus en plus fréquentes, le rythme s'accélère avec les examens et les spectacles surtout en fin d'année, je suis claquée. Il est seize heures quinze. Je me souviens que je m'étais promis de récolter ma marijuana et ma cocaïne aujourd'hui, elle a dû bien pousser avec le soleil de ces derniers temps. Je me lève et m'essuie le dessous des yeux, mon maquillage noir a coulé. Dans la salle de bain, le miroir qui me reflète semble horrible, je fais un effort pour me faire une queue de cheval haute et pour me démaquiller totalement. Cela peut choquer de me voir totalement sans artifices mais je m'en fiche. Je troque ensuite ma tenue de danseuse pour mes tenues vulgaires habituelles : bas résille, tunique noire courte et décolletée. Cela ne choque plus personne. J'enfile mes converses basses noires et je pars dans les jardins de l'école pour faire ma récolte. Au fond c'est simple de faire pousser de la drogue, il suffit d'un peu de patience pour tenir jusqu'au jour où elle est enfin prête à être consommée mais j'avais un petit stock qui m'avait permis de tenir.

Je pousse les branchages autour de moi et arrive enfin à ma petite plantation d'environ un ou deux mètres carrés. C'est peu mais suffisant, il n'y a que moi qui connais l’existence de ce truc. Ma cocaïne est très belle, bien verte. Je me mets à croupi et commence à en couper un peu, avant de regarder où en est la marijuana. Mouais, j'attendrais encore une semaine pour en consommer. Soudain, j'entends des bruits de pas. Ils sont très légers mais je parviens tout de même à les entendre. Merde, j'me suis fait prendre. Merde. Merde. Merde. je déglutis et prie pour qu'il ne soit pas membre du personnel et qu'il ne s'agit que d'un raton laveur. Je me retourne et ne vois pas un raton laveur mais un jeune homme. Merde. Je me lève pour arriver à sa hauteur, bien qu'il me dépasse d'une tête. « Qui es-tu, qu'est-ce que tu fais ici ? » Je demande d'une voix tremblante, qui trahit assez bien ma peur. « Je... Je peux tout expliquer. » Mensonge ! "Désolée de planter de la coke et de la marijuana dans le jardin..." Assez peu potable. J'espère juste que ce type ne sera pas trop con et compatira.



Dernière édition par Frida Calloway le Dim 25 Jan - 15:52, édité 4 fois
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Alexander Mc Cold
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MessageSujet: Re: parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. (alex) [sujet olé olé]   parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. (alex) [sujet olé olé] EmptyDim 18 Mai - 17:46

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« Parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. »
Frida Calloway ~ Alexander Mc Cold

Je n’avais toujours pas compris à quoi servait le métier de surveillant ! Et surtout ce qu’il faisait dans la société ! Etait-ce de surveiller les élèves ou de se faire aborder par des gamines de 15 ans alors qu’on essaye de faire la première chose ? Est-ce que c’est aussi de se sentir obligé de rester avec elles, d’abord parce qu’il n’y a rien à surveiller –le week-end, c’est désert !- et ensuite car elles semblent tellement heureuse de nous parler que pour leur faire plaisir… on s’en sent obligé ! En tout cas, c’était apparemment ce que je devais faire. Un Week-End quoi ! Bah oui, ya toujours des gamins qui ne peuvent pas rentrer chez eux ou encore qui ne le veulent pas, donc il faut quelqu’un pour les surveiller… Et comme j’habite juste à coté, disons que j’étais dans les personnes visées pour surveiller les étudiants ! J’étais donc là, assis sur un banc, à écouter les gamines me parler de leur vie, leurs chagrins et toutes ces conneries d’adolescentes pour se rendre intéressantes ! Moi je ne pensais qu’à une chose, partie et les laisser en plan. Mais pour quoi faire ? La cours était vide, seuls quelques étudiants seuls se baladaient comme des zombies. Et une bonne partie arpentait les couloirs au lieu d’être dehors, en quête d’une meilleure occupation que d’écouter les oiseaux piailler et le vent souffler ! Je sortis alors un petit carnet de ma poche, suivi d’un crayon de papier pour ensuite me lever sans adresser un mot aux étudiantes bouches bée qui avaient arrêté de parler, surement vexées. Je me dirigeais d’un pas lent mais assuré vers les jardins, la tête plongée dans mon petit bloc note où je dessinais de nombreux croquis, tournant donc les pages de ce carnet pour trouver une page vierge.

J’avais beau chercher autours de moi, je ne trouvais rien à dessiner, que ce soit une fleur, un arbre ou encore un buisson –oui oui, quand je suis désespérer ça m’arrive…-. Aucune inspiration ne venait, que ce soit en regardant le ciel ou le sol, l’académie ou les jardins. Je n’étais vraiment pas en forme aujourd’hui ! J’avais besoin de couleur, de pommettes rosées, de longs cheveux, d’un visage fin et féminin, d’un regard envoutant… En gros, j’avais besoin d’un model humain, de préférence féminin ! Pourquoi avoir quitté les étudiantes alors ? Simplement parce qu’elles commençaient tout juste à me les casser et que si je n’étais pas parti il y a quelques minutes, j’aurais fais un meurtre ! Nan, sérieusement ! Depuis que j’étais revenu, elles me collaient sans arrêt, c’était toujours elles qui venaient me voir, me parler, et en trois moi, je connaissais toute leur vie de A à Z –A chacune ! Elles sont quatre…- Mon style c’était plutôt les filles de 17 ans, 18, 19ans, jusqu’à 25ans. Les gamines, très peu pour moi ! Je ne comprends pas qu’elles n’aient pas compris encore ! C’est à peine si à 15 ans, elles ont eu un vrai petit copain ! Je soupirai exaspéré avant de m’assoir comme un clochard pour commencer à dessiner la femme que j’ai le plus dessiner dans toute ma vie : Allisson, mon ex-fiancée britannique ! Celle que j’ai mise enceinte il y a quelques mois, juste avant de revenir en France alors que je n’éprouvais plus aucuns sentiments pour elle, celle qui à avorter parce que nous nous étions engueuler sur le fait de garder le bébé ou non. Bref, elle. En tout cas,  c’est ce que j’ai tenté de faire, la dessiner. Car des bruits de pas légers, discrets, comme s’ils se dirigeaient vers un endroit secret, pour ne pas être remarqué. Je me levai sans un bruit et suivis les bruits légers que procuraient la marche de la personne. Malheureusement, le sol ne pouvais s’empêcher de crisser sous mon poids –il est difficile pour un gars d’1m95 et de 80kg de ne pas faire de bruit !-. C’est quelques secondes après que j’arrivai à un petit carré de terre, de deux trois mètres carrés à peine, devant des plantes que je reconnaissais très bien : Cocaïne et Marijuana ! Accroupie près d’un plant de coke, une jeune fille, brune, fine et formée, plutôt jolie de dos, se leva en sentant ma présence derrière elle. Je la dépassais d’une bonne tête. Grande pour une nana ! Elle me regardait, inquiète, le visage suant du fait que j’ai découvert son secret. Voilà de quoi s’amuser un peu. Elle avait à peu près 17 ans, peut-être plus vieille, mais impossible d’être plus jeune ! Elle ouvrit la bouche, inquiète.

« Qui es-tu, qu’est-ce-que tu fais ici ? »

Elle avait vraiment peur. Ça se sentait dans sa voix ! Mon regard lui ne se détachait pas de son joli minois. Vraiment très mignonne !

« Je… Je peux tout expliquer. »

Bien sur que non ! Je voyais bien dans son regard paniqué qu’il lui était impossible de m’expliquer son activité « clandestine » à planter de la drogue dans l’enceinte de l’académie. « Alors en fait c’est en cours d’SVT, nous devions planter de la drogue et voir quels effets les différentes drogues avaient sur nous ! ». Je souris à cette pensée. Si jamais elle me donnait cette raison, j’éclaterai de rire ! C’est la réponse que j’aurais donné à sa place si j’avais fais ça quand j’étais étudiant. Je lui souris ensuite en arquant un sourcil amusé avant de lui répondre.

« Alexander Mc Cold. Je fais mon travail, je surveille les étudiants à ton avis ! Oui, va y, j’attends tes explications, expliques moi pourquoi tu fais pousser de la coke dans les jardins de l’académie, tu dois avoir une très bonne raison ! »

Essayant d’avoir l’air sérieux, j’avais répondu à l’étudiante d’une voix posée. Le visage de la jeune femme me disait cependant quelque chose… Oui, c’était une Cygne si ma mémoire est bonne. A vrai dire une gueule pareille, ça s’oublis pas ! Je ne connaissais pas son nom malheureusement, mais je me souviens avoir dessiné sa silhouette lors d’un ballet auquel j’avais assisté… Oui, c’était bien elle !


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MessageSujet: Re: parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. (alex) [sujet olé olé]   parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. (alex) [sujet olé olé] EmptyDim 18 Mai - 18:36

alexander et frida
parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. ~ 1260 mots

Les gens de l'académie avaient pris l'habitude de me surnommer The Black Swan. J'affectionnais particulièrement ce surnom tant je trouvais qu'il collait à ma personnalité. N'importe quelle danseuse aurait pu ne pas apprécier ce petit surnom mais je m'identifiais à ce personnage. D'un côté il y avait le cygne blanc, la pureté, l'innocence. Soyons clairs, ces traits de caractère font tâche quand on me connaît, c'est pour cela que le cygne noir me représentait mieux : l'insécurité, vie de débauchée. Pourquoi voudrait-on me qualifier de cygne blanc alors qu'Ambroisia Trendle le représentait quatre fois mieux - de plus j'ai juré que je ne lui piquerais pas son petit ami et que je ne la mènerai par conséquent à aucun acte suicidaire. Rassurant. J'étais plutôt fière de porter ce petit diminutif qui m'allait comme un gant. De plus, ce surnom allait non seulement avec ma personnalité mais il allait aussi avec ma manière de danser : brutale. Je sais, cela peut faire un peu cash si je m'exprime ainsi mais mon style est brut, je danse pour exprimer mes sentiments et comme j'ai du mal à les exprimer, on peut dire que c'est plutôt brutal. Cela plaît à certaines personnes qui aiment la danse assez simple, trash. Mais bien évidemment cela ne fait pas l'unanimité - certaines personnes vont penser que ce n'est pas vraiment de la danse ou quelque chose dans ce style mais vue que je m'en fiche pas mal de leurs critiques, ce n'est pas un problème pour moi. J'ai tellement reçus de moqueries dans ma vie qu'une de plus ou une de moins ne me fait ni chaud ni froid, si les gens se sentent valorisés après avoir critiqué quelqu'un, tant mieux pour eux, et il vaut mieux que ces critiques soient axées sur moi que sur une fille mal dans sa peau et à qui un reproche peut mener à une grosse connerie liée à un tabouret et une corde (par exemple). Plus rien ne m’atteins, je suis un peu comme une statue, beaucoup disent que je suis un cœur de pierre, ce qui n'est pas entièrement faux. Mais s'ils ne me donnent pas un minimum d'amour, comment puis-je leur prouver le contraire ? Je suis une personne de gentille dans le fond, j'ai juste eu une vie dure jusqu'à présent, notamment à cause de ma mère qui était supposée être la figure d'exemple qui a finalement été ma figure à ne pas reproduire, chose que je n'ai pour le moment pas réussis.

La drogue a toujours fait partie de ma vie, depuis toute petite je voyais maman s'installer bien confortablement dans le canapé, face à la table basse sur laquelle était posée des filtres, du papier à cigarette et une petite boîte métallique dans laquelle se trouvait une plante séchée. La seule chose que je voyais était quand elle roulait le tout avec une main étonnamment habile. Je n'avais que six ans à l'époque et je pensais qu'elle fabriquait simplement ses cigarettes et qu'elle faisait pousser son tabac sur le balcon. Mais à l'adolescence j'ai commencé à comprendre pourquoi quelques fois elle ne rentrait pas le soir et un soir alors qu'elle était en train de faire la fête Dieu sait où, j'ai fabriqué mon premier joint sans le savoir. Après des années d'observation, ces gestes devenaient presque normaux, comme s'ils avaient toujours courus dans mes veines (ce qui était le cas). Puis j'ai allumé le briquet et j'ai tiré une latte. Cela était désagréable, voire carrément dégueulasse. Cela brûlait. J'ai crapoté, toussé, grimacé, craché. Bref je me suis promis de ne plus recommencer. Mais j'avais bien vu que quand maman faisait sa préparation, elle ne laissait plus que le filtre et qu'elle avait avalé toute sa cigarette. J'entreprenais donc de faire de même. Et je n'aurais certainement pas dû. Mais le mal était fait. C'est à partir de ce moment là où j'ai commencé à prendre en cachette de l'herbe dans la petite boîte métallique, plus je grandissais plus je comprenais ce que contenait cette boîte et plus je me sentais conne de ne pas l'avoir su plus tôt. Ma mère ne s'en rendait pas compte mais un jour il arriva qu'elle découvrir un petit mégo dans les toilettes. Là, elle hurla de rage, me traitant de tous les noms, me frappant de toutes parts. Mais, si j'en étais arrivée à là, c'était en partie de sa faute.

Faire pousser de la drogue dans l'académie était une chose pratiquement normale pour moi. Je connaissais toutes les ficelles de comment faire pousser la drogue grâce à ma mère qui refusa de m'envoyer en désintox suite à ça, car on la traiterait de mère indigne qui initie sa fille à la drogue et puis elle avait tout simplement la flemme et pas l'argent pour recourir à ces soins. En bref, je ne pouvais pas aller dans cette académie et ne pas y mettre mon petit grain de sel - je ne rentrais pas chez moi pendant les vacances et je ne connaissais pas de dealer aux alentours (et puis ça coûte quand même du fric d'acheter à un dealer !) donc c'était une solution toute faite. J'avais trouvé le parfait petit coin, je m'y rendais une fois par semaine environ pour y faire ma récolte. Mais cette fois-ci, ne serait-elle pas ma dernière ? Allais-je me faire virer de l'école ? Face à moi, un jeune homme d'environ la vingtaine, un surveillant si je me souvenais bien, blond, musclé, beau comme un dieu. Il me dépassait, en fin de compte, d'au moins une tête et demi, surtout que j'avais mis mes converses basses et pas mes talons habituels. J'étais faite comme un rat. Je bredouillais des excuses, je tentais de trouver une explication. La sueur qui perlait sur mon front trahissait énormément de choses comme mon état d'angoisse actuel. Il se met à parler : « Alexander Mc Cold. Je fais mon travail, je surveille les étudiants à ton avis ! Oui, va y, j’attends tes explications, expliques moi pourquoi tu fais pousser de la coke dans les jardins de l’académie, tu dois avoir une très bonne raison ! » Meeeeerde. Il a reconnu la drogue, cela doit dire qu'il a dû avoir certains contacts avec ce type de plantes, non ? Je déglutis. « Je... Je... Je viens de trouver ce truc ! C'est... C'est vraiment de la coke ? » Bon, je vais miser pour l’innocente : pense que tu es Ambroisia ma petite Frida, joue la comédie ! Je lâche automatiquement les branches que je viens de ramasser, comme si elles me brûlaient les doigts et qu'elles allaient m'empoisonner sur-le-champs. « J'avais perdu mon écharpe et je croyais l'avoir vue là et je suis tombée sur ça... Ça sentait bizarre donc j'ai voulu savoir ce que c'était et... je suis désolée je ne savais pas. » Pleuuuure ! Bingo des larmes arrivent au coin de mes yeux, rendant ma comédie plus vraie que nature. Je lâche des petits gémissements plaintifs et de petits spasmes prennent mon corps. « Si j'avais su... » Je pleure de plus belle. Je peux être une très bonne actrice quand je veux !

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MessageSujet: Re: parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. (alex) [sujet olé olé]   parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. (alex) [sujet olé olé] EmptyDim 18 Mai - 19:34

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Je regardais l’étudiante le sourire aux lèvres. La voir, paniquée de ne savoir quoi me dire, son joli minois en sueur. Qu’allait-elle me sortir ? Elle semblait perdue dans ses pensées, peut-être cherchait-elle quoi dire au fait que je l’avais découverte. J’allais bien voir ce qu’elle me dirait, je n’avais qu’à attendre quelques instants. En attendant, je sortis mon carnet et commençais à chercher les dessins que j’avais fait de sa silhouette -Oui, ce carnet je l’ai toujours sur moi, depuis longtemps, et il est très gros, le plus ancien dessin est celui que j’ai fais dans ma chambre juste après être arrivé à l’académie, quelques années plus tôt. Je ne dessine pas beaucoup dans ce carnet, seulement lorsque je n’ai pas mon gros bloc note avec moi.- Je remontais peu, sachant que j’avais fais seulement deux ou trois dessins depuis que j’étais parti de l’académie en tant qu’élève. Le ballet avait été dans les derniers dessins que j’eu fais… Ah, le voilà. Je scrutai le dessin que j’avais fais –bien que j’étais plutôt loin- et regarda ensuite l’adolescente, toujours perdue dans ces pensées. Oui, c’était bien elle, j’avais beau ne pas avoir une vue exceptionnelle, en revoyant ce dessin je me suis souvenu de ce ballet, fantastique je dirais. Je rangeai mon carnet dans ma poche arrière et croisa les bras sur mon torse, attendant la réponse de la jeune femme. J’avais du la réveiller en bougeant ainsi car elle me regarda quelques instants, toujours aussi paniquée et ouvris enfin la bouche.

« Je… Je… Je viens de trouver ce truc ! C’est… C’est vraiment de la coke ? »

Je la toisai, les sourcils levés. Ah elle voulait jouer à ça ? Bien, ça serait drôle. Mon regard se posa sur la main avec laquelle elle tenait les branches de cocaïne, qu’elle lâcha aussitôt. Je la regardai amusé.

« J’avais perdu mon écharpe et je croyais l’avoir vue là et je suis tombée sur ça… ça sentait bizarre donc j’ai voulu savoir ce que c’était et… je suis désolée je ne savais pas. »


Je la regardai une fois de plus. Elle avait les larmes aux yeux. Nan, sérieux ? Elle sortait les larmes maintenant ? Bon, j’avoue que si j’avais été naïf, je l’aurais cru, mais là, elle est tombée sur le mauvais surveillant. J’attendis le regard curieux la suite. Il ne manquait plus que le pop-corn ! Elle pleurait et pleurait, lâchant des gémissements qui me faisaient plus rire que de la peine. Je retenais mes éclats de rire et attendit qu’elle sorte la suite de son discours.

« Si j’avais sue… »

Elle éclata en sanglot. C’était une bonne actrice, je l’avoue. Elle aurait presque pu m’avoir. Je la regardai de haut. Bon, d’accord, son petit jeu marchait un peu. Mais je savais comment la faire avouer. Sans montrer mon doute, je lui sortis d’une voix dure.

« Je sais que c’est toi, pas besoin de jouer la comédie. Tout le monde le dit, dès que quelqu’un parle de la maison de cygne, tout le monde à ça en bouche ‘Une Cygne fais pousser de la drogue dans les jardins’ c’est quelqu’un qui m’a dit que tu venais pour la ramasser, voilà pourquoi je t’ai suivis. »







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MessageSujet: Re: parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. (alex) [sujet olé olé]   parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. (alex) [sujet olé olé] EmptyMar 3 Juin - 12:42

alexander et frida
parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. ~ 804 mots

Ce type là, Alexander McMachin, il semblait presque prendre du bonheur à me voir dans mon malheur ! J'étais en sueur, je ne voulais pas être virée. Qu'est-ce qui m'arriverait si j'étais virée ?! J'allais traîner dans la rue et devenir prostituée, mon futur était assez vite résumé et je ne voulais pas que cela arrive, pour rien au monde je ne voulais cela ! Déjà que payer l'école était vraiment dur mais alors s'en faire virer parce que je n'ai pas l'argent pour aller en désintoxication, mais ça serait la cerise sur le gâteau. Je suis perdue j'ai vraiment envie de crever sur-le-champ. Je ne savais pas quoi faire, j'étais totalement paniquée. La peur agrippait peu à peu au ventre. Il regarda pendant quelques secondes un de ses dessins dans son gros calepin. Je trouvais aussitôt qu'il dessinait bien. Au bout d'un moment il trouva enfin le truc qu'il cherchait à savoir des esquisses d'une fille en train de danser, elle me ressemblait c'était fou. Mais je décidais de commencer à jouer la comédie. Je pouvais être bonne actrice mais ce n'était tout de même pas ma vocation : mon truc à moi c'est la danse. Il me regardait en levant ses sourcils et en croisant les bras sur son torse. Il ne me croyait pas. Bon on va pleurer un coup alors. Et je continuais de faire semblant d'avoir jamais vu cette drogue et d'avoir perdu mon écharpe. Là, j'eus peur qu'il me demande "ah oui et tu l'as retrouvée son écharpe" le problème c'est que je n'ai pas d'écharpe et que ce n'est pas la saison pour porter ce genres de trucs. Je suis dans la m*rde jusqu'au cou moi, mais qu'elle idée de ne pas surveiller mes arrières, moi qui était pourtant si précautionneuse ! Une erreur d’inattention et me voilà faite, prise en plein la main dans le sac. Je suis vraiment trop conne. Je viens de ruiner ma vie. Mon pouls s'accélère. Cela ne me ressemble pas mais je suis désemparée.

« Je sais que c’est toi, pas besoin de jouer la comédie. Tout le monde le dit, dès que quelqu’un parle de la maison de cygne, tout le monde à ça en bouche ‘Une Cygne fais pousser de la drogue dans les jardins’ c’est quelqu’un qui m’a dit que tu venais pour la ramasser, voilà pourquoi je t’ai suivis. » Je vais tous les étriper. Et leur arracher les ongles doucement un par un. Puis ensuite leur crever les yeux et me faire un steak avec leurs restes. J'y crois pas, pourtant je ne l'ai jamais dis à qui que se soit et la seule personne susceptible d'être au courant est une surveillante, je lui ai même autorisé à se servir si elle le souhaitait ! Mais ces gens dans cette école sont tous un peu cons je trouve, ils ont vraiment rien à raconter à part des trucs sur moi, comme si j'étais leur sujet de conversation préféré, pourtant on a vite-fait le tour de moi enfin on sait tous que je suis une traînée de première et que je suis carrément tarée, pourquoi ils sont tellement omnibus par moi j'en prends presque la grosse tête là ? Enfin je veux dire qu'ils ont vraiment besoin de changer leurs sujets de discussions. Je soupire. « Tu m'as bien eue. » A quoi bon tenter de me défendre je me suis faite avoir ? « On va dans le bureau du directeur je suppose ? » Rien que d'entendre ces mots sortir de ma bouche, ça me donne envie de vomir. Je vais me faire dé-fon-cer, puis virer et je vais donc vivre ma vie comme je l'ai dis dans le paragraphe d'avant : prostituée pas chère au coin du quartier. Je m'en veux tellement. Mais cela aurait été vraiment trop dur de tenir toute l'année sans drogue, voire carrément impossible. Je ne vois plus rien d'autre à dire. Je me contente de serrer légèrement la mâchoire et de suivre son regard en tentant de l'implorer d'être gentil même s'il n'a pas l'air d'être le plus gentil du monde, j'espère qu'il comprendra. Au pire s'il veut faire un marché je suis toute ouverte, tous sens du terme. La curiosité me démange quand même pour un truc : « Mais avant j'ai juste une question : c'était moi sur ton calepin ? » Je me mordille la lèvre inférieure. Ben quoi ? J'veux pas quitter cette école sans savoir si oui ou non c'était bien moi qu'il avait dessinée.

mini-crotte bonjouuuur  I love you 

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MessageSujet: Re: parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. (alex) [sujet olé olé]   parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. (alex) [sujet olé olé] EmptyMer 4 Juin - 13:29

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« Parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. »
Frida Calloway ~ Alexander Mc Cold

La jeune femme semblait paniquée. Puis je vis dans ces yeux une lueur de colère. Un sourire s’afficha sur mon visage. Elle m’avait donc crû. En fait, personne n’avait jamais parlé d’elle, surement qu’ils avaient trop peur d’elle. Déjà que son regard était angoissant. Non, je n’avais pas peur, je m’imaginais juste dans la peau d’un gamin de 16 ans qui la vois et qu’elle menace de faire quelque chose s’il le dit à quelqu’un. Pourquoi avoir des préjugés comme ça ? Toutes les nanas qui font pousser de la drogue sont pas toujours super aimables, bien que celle-ci semblait sympa avec ceux qui la laissait tranquille. J’entends la jeune fille soupirer.

«  Tu m'as bien eue. On va dans le bureau du directeur je suppose ? »

Je souri. Cette nana là ne me connaissait pas. Je l’ai surprise, mais ça me rapportera quoi de l’amener dans le bureau du dirlo’ pour se faire descendre puis virer, mis a part m’attirer sa foudre ? J’avais beau avoir pris cet air de « je vais te dénoncer et tu vas te faire virer », ce n’était pas mon genre. Je suis pas un mec méchant. Si elle était à l’Académie, c’est qu’elle avait une passion, et à en juger par mon dessin qui lui ressemblait beaucoup, cette passion était la dense. Si je la faisais virer, je détruirais son rêve j’imagine. Je n’aurais pas aimé qu’on me le fasse. De plus, si à son âge j’avais eu la possibilité de faire pousser de la drogue, je l’aurais fait. Mais disons que je n’avais pas vraiment les plantes, alors je ne faisais qu’acheter à des dealeurs pour les fumer avec mes potes. Je regarde la danseuse et croise son regard. Ce dernier semble m’implorer. De toute manière, j’ai déjà fais mon choix sur le fait de la dénoncer ou non, et à la seconde où je l’ai vue.

« Mais avant j'ai juste une question : c'était moi sur ton calepin ? »

C’est qu’elle est curieuse la danseuse. Je la vois se mordiller les lèvres. Je la regarde de haut en bas –chose que j’ai déjà fais, mais c’est qu’elle est tellement sexy que je peut pas m’en empêcher !-. Je lui souris la regardant dans les yeux.

« Mh… Et bien, je ne vais pas t’amener chez le directeur. Tu me pensais vraiment assez méchant pour faire ça ? »

Je lui souris, une fois encore et décide de m’assoir sur un rebord. Je sors alors mon bloc-note afin de dessiner une nouvelle fois sa silhouette, mais cette fois, actuelle. Elle pourrait ainsi comparer les deux dessins et voir. Je réussie à la dessiner en cinq grosses minutes, ne faisant pas attention aux détails, faisant simplement un croquis que j’approfondis légèrement. Une fois terminé, je lève la tête et regarde une fois de plus la jeune femme –dont je ne connais pas le nom- et lui montre le carnet avec les deux silhouettes d’elle cotes à cotes.

« A toi de juger par toi-même si tu te reconnaît. Mais je pense que oui, c’était toi à cette époque. Bon, maintenant, pourrais-tu me dire ton nom mademoiselle la danseuse ? »


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MessageSujet: Re: parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. (alex) [sujet olé olé]   parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. (alex) [sujet olé olé] EmptyJeu 5 Juin - 18:42

alexander et frida
parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. ~ 847 mots

« Mh… Et bien, je ne vais pas t’amener chez le directeur. Tu me pensais vraiment assez méchant pour faire ça ? » Est-ce que coco l'asticot peut répéter ? Mes yeux s’écarquillent comme deux soucoupes. Il vient de me prendre en flagrant délit en train de ramasser de la drogue que j'ai moi-même fait pousser, ensuite j'ai tenté de faire semblant de ne pas être concernée et lui il ne veut pas m'emmener chez le directeur ? Il est pas un peu fou ? J'ai presque envie de le réveiller. Ma tête reste comment dire... assez neutre même si je saute de joie intérieurement. Tous les muscles de mon corps se détendent et je me surprends même à pousser un soupir de soulagement. « Woh tu sais les adultes j'en connais qui n'auraient pas perdu leur temps pour m'y emmener. » C'était la vérité, tous les adultes ne sont pas aussi cool que ce qu'il a pu faire, c'est même quasiment rare, enfin si on oublie Sasha qui est un peu bizarre (non disons qu'on s'entend bien elle et moi) donc oui, ça va quand même un drôle d'effet. Là le mister beau gosse il m'intéresse. « T'es différent. » Je pose alors ma fameuse question qui me titillais : était-ce moi sur le calepin ? J'ai eu le temps de voir vraiment très vite quelques visages qui me semblaient familiers et on dirait qu'il a fait ses études ici ou du moins dans une école de dessin : ce type est doué comme pas possible. Là, il s'assoit sur le rebord et prend une nouvelle page vierge, sort un crayon et commence à dessiner. Je ne sais pas trop quoi dire, je reste plantée là devant lui en lui servant de "modèle" enfin je n'ai jamais fais ça, peu de gens me demandent quoique se soit. Je parie que si leur prof leur dit "dessinez une jeune fille de la maison des cygnes qui se drogue et s'habille en noir constamment" personne ne viendra me voir. Je fais tant fuir que ça les gens ? Je vais pas les bouffer tout de même (enfin je crois pas).

Pendant cinq minutes j'ai le temps de le regarder sous tous ses angles. Ses muscles qui se contractaient quand il faisait un grand geste sur son dessin, ses cheveux blonds cendrés, ses yeux bleus qui quelques fois croisaient mon regard quand il me regardait à son tour et ses sublimes lèvres que je meurs presque d'embrasser. C'en était électrisant, je n'avais presque jamais été confrontée à ce genre de sentiments, c'était limite si une légère tension sexuelle venait d'apparaître entre nous (ou bien juste moi toute seule, comme un raton laveur en chaleur). Enfin, il relève la tête et me tend son dessin. Je prends délicatement le calepin, il semble avoir de la valeur et contenir énormément de trésors. Je contemple alors l'esquisse qu'il vient de faire de moi. C'est époustouflant. « A toi de juger par toi-même si tu te reconnaît. Mais je pense que oui, c’était toi à cette époque. Bon, maintenant, pourrais-tu me dire ton nom mademoiselle la danseuse ? » Je cligne plusieurs fois des yeux, sans réellement entendre ce qu'il dit. C'est vraiment sublime et captivant. « Wow ma foi c'est vraiment à couper le souffle... » Je commente avant de lui rendre son bien. « Frida c'est mon nom. » Il voulait savoir, maintenant il sait. Je sais que mon prénom est assez spécial, enfin on ne le croise pas souvent, d'ailleurs je n'en suis pas une très grande fane mais ma mère trouvait que ça faisait un peu trash du coup elle a adoré et me voilà avec ce prénom. Faut dire qu'elle s'est pas cassé la tête, j'ai même pas de second prénom ou de trucs du genre, j'suis pas baptisée ni rien. En fait ma mère, comme vous l'aurez compris, s'est pas vraiment occupée de moi et de mon éducation. Mais je sais pas ce que ça aurait donné si elle avait tenté un peu de m'éduquer... Je veux pas trop y penser ! « Mais les gens préfèrent m'appeler The Black Swan, parce que je suis plutôt bizarre et qu'ils ont tendance à flipper rien qu'en entendant mon prénom. » Triste réalité mais je ne suis pas là pour me lamenter, les gens me foutent la paix au moins. Je ricane. Je pense que les gens sont juste un peu cons de penser ce genre de trucs, y'a pas que le physique qui compte. Désolée de pas avoir de sac Chanel et de pas porter des nœuds papillon et d'être habillée en petite princesse mais ça en l’occurrence ça ferrait bizarre sur moi.

Je m'assois à côté de lui. « Tu me trouves comment, toi ? » Je sens les un milliards de sous-entendus. Et je ne sais pas pourquoi mais son avis m'importe.

jotem  I love you 

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MessageSujet: Re: parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. (alex) [sujet olé olé]   parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. (alex) [sujet olé olé] EmptyJeu 5 Juin - 20:15

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« Parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. »
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La danseuse était restée quelques longues secondes sans bouger, presque la bouche ouverte tellement elle était surprise –du moins, c’était ce que je pensais vu que son visage était impassible, mais je voyais bien dans ses yeux qu’elle était vraiment surprise !- Bon, c’est vrai que avec ce qu’il venait de ce passer, il était normale qu’elle ait crû que je l’emmènerais chez le directeur, seulement j’aimais bien faire peur aux gens, ou encore leurs donner de faux espoirs –dans ce sens là, je ne faisais jamais des choses qui faisaient mal, je ne suis pas si cruel que ça-. Je la senti se détendre, le sourire aux lèvres.

« Wow tu sais les adultes j’en connais qui n’auraient pas perdu leur temps pour m’y emmener. »

Bah oui, évidemment. Je suis exceptionnel moi, y’en a pas un qui est comme moi. Je suis pas un adulte comme les autres, je pourrais jamais l’être, étant donné que j’ai fais de belles conneries dans ma vie, que cependant je ne regretterai jamais –sauf peut-être une…-. J’ai toujours mon cerveau d’ado. C’est bien normal que je la laisse, et même lorsque j’aurais 40 ans, je sais que j’aurais toujours cette mentalité, on ne peut pas empêcher aux plus jeunes de faire leur vie. Ils font ce qu’ils veulent, tempi pour eux s’ils font des conneries, ils s’en rendront bien compte à un moment. Même si pour certains, ils faisaient ces conneries pour justement, qu’on s’occupe d’eux. Dans tous les cas, c’est leur vie.

« T’es différent. »

Je souris, amusé par ce « compliment » si l’ont puis dire. Oui, pour moi être considéré comme différent, c’était une sorte de compliment, c’était quelque chose de positif –dans la plupart des cas me concernant-.

Alors qu’elle regardait les dessins que je lui avais tendus, je la regardai de plus près. Elle était habillée tout en noir, de la tête aux pieds. Un look assez peu commun, surtout pour une danseuse. J’avais l’habitude de voir de belles blondes, habillées dans des couleurs pures et aux yeux bleus. Bien que la jeune Cygne soit très belle, elle n’avait pas cette image. Mais tant mieux ! L’originalité était la meilleure de toutes les qualités, Be Different. Elle avait un décolleté très provoquant, mais qui ne me dérangeait pas. Elle ne ressemblait pas à une p*te pour autant !  Beaucoup de personne à mon école Britannique trouvait les décolletés bien trop vulgaires, insultant de « pute » ou de « salope » les filles ayant des décolletés, même moins grands que celui qu’avait la danseuse. Ses cheveux étaient bruns et châtains, attachés en une queue de cheval plutôt haute. Son regard bleu profond, sans aucun artifice, me donnait envie de les dessiner pour lui montrer à quel point ils étaient beaux comme ça. Je l’avais déjà croisé dans les couloirs, lorsque j’étais étudient. Elle était souvent maquillée, du noir et que du noir autour. A quoi bon ? Elle n’avait pas besoin d’être comme ça. Bien que le maquillage embellisse encore plus ses yeux, le naturel était toujours le mieux. Mon regard descendit pour contempler sa silhouette. Celle-ci était fine et pourtant avec de belles formes là où il en fallait. J’avoue qu’elle me faisait un bel effet.
Elle cligna longuement des yeux, sans doute surprise qu’un simple surveillant puisse dessiner ainsi. Elle n’avait sans doute jamais dû entendre parler de moi lorsque j’étais élève malgré le fait que j’étais souvent l’apporteur des bastons au sein de l’académie.

« Wow ma foi c’est vraiment à couper le souffle… »

Je souris lorsqu’elle me rendit mon carnet. On me le disait souvent. J’avais commencé à avoir l’habitude de tels compliments lorsque j’avais commencé le dessin : aux alentours de 14 ans !

« Frida c’est mon nom. »

Frida ? Voilà un nom plutôt étrange et pas commun. A ce que je vois, elle est originale en tout point. Quand j’entends ce nom, je vois tout de suite une femme au visage fin, aux yeux clairs entourés de noir, aux cheveux très noirs et plutôt fine. En fait, elle a bien la tête d’une Frida. Complètement même. Je souris. Je connaissais son nom, et je n’aurais plus à l’appeler mentalement la danseuse ou la Cygne. Un bon point, car cette appellation commençait à devenir lourde.

« Mais les gens préfèrent m’appeler The Black Swan, parce que je suis plutôt bizarre et qu’ils ont tendance à flipper rien qu’en entendant mon nom. »

Je grimaçai. C’était vraiment ce genre de préjugés que je détestais chez les gens. Bon d’accord, moi aussi j’en fais, mais pas des comme ça. Heureusement Frida semblait ne pas être touchée par ça. J’en connais pleins qui, après de tels surnoms, auraient entièrement changé de look et de comportement. Visiblement pas elle, ce qui gardait son originalité. J’aimais beaucoup ce qu’elle me faisait ressentir, autant en la voyant qu’en l’entendant et en parlant avec elle. Elle n’était pas une femme ordinaire –femme car elle n’avait pas l’air d’avoir 15 ans !-. A ce que je pouvais en juger, les personnes qui l’appelaient The Black Swan ne la connaissaient pas. En fait, je ne la connaissais que depuis une vingtaine de minutes, et pourtant je n’ai eu aucuns préjugés sur elle, mis à part ceux des danseuses. Elle était même plutôt sympa, et intéressante en plus. Elle était aussi intelligente, pour avoir essayé et presque réussi à m’avoir avec son jeu d’acteur. C’était une bonne menteuse, en tout cas, j’espérais qu’elle ne me mente plus.
La jolie brune vînt alors s’asseoir à côté de moi. A vrai dire, c’est comme si nous étions collés l’un à l’autre, mon épaule touchait… Euh, en fait, elle touchait rien, mais c’était parce que j’étais grand part apport à elle ! En tout cas, nous nous touchions, et j’avoue que j’appréciais cette sensation.

« Tu me trouves comment, toi ? »

Je plissai les yeux amusé. Que voulait-elle dire par là ? Si je pensais moi aussi qu’elle était « bizarre » et « effrayante » ainsi que « glauque » ? Bon d’accord, personne, ni même elle ne m’avait dit ça –sauf pour le bizarre-. Ou alors est-ce qu’elle me demandait comment je la trouvais physiquement ? Je souris. Pourquoi pas répondre aux deux, de manière soft bien sure !

« Comment je te trouve ? Mh… C’est difficile à dire vue que je ne te connais pas très bien, mais ce que je peux dire, avec le peu que je connaisse sur toi, c’est que tu n’es pas une fille ordinaire, et c’est pas mal du tout. Je pense que depuis que je suis revenu en tant que surveillant, tu es l’unes des rencontres les plus intéressantes que j’ai faite. Les idiots qui disent ou qui trouvent que tu es bizarre sont, comme je viens de le dire, des idiots. Ils ne te connaissent pas, c’est tout. Même moi qui te connais à peine, ne te trouve pas bizarre. Sauf lorsque tu pensais que j’allais t’amener chez le directeur, là, c’est vrai, tu es bizarre ! »

Je lui fis un clin d’œil amusé, espérant qu’elle ait compris que je la taquinais un peu.

« Non, sincèrement, tu n’es pas bizarre, tu es même je dirais très intéressante et originale, que ce soit dans ta façon d’être ou dans ton look. »

Je la scrutai, le sourire aux lèvres. Mon regard croisa le sien, je descendis un peu jusqu’à m’arrêter sur sa bouche, pulpeuse et qui me donnait une folle envie de l’embrasser, juste pour voir ce que ça faisait…


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MessageSujet: Re: parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. (alex) [sujet olé olé]   parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. (alex) [sujet olé olé] EmptyMar 1 Juil - 20:54

alexander et frida
parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. ~ 896 mots

Donc je pense que c'est lui, le fameux surveillant qui aurait - selon les rumeurs - couché avec une élève. Les rumeurs ne sont que des rumeurs et je les nourris d'ailleurs chaque jour parce que je dis un truc choquant ou que j'en dis pas, donc je sais que cela peut être une information totalement fausse mais en analysant le personnage je pense qu'il en aurait été capable. Cela dit, peut-être que l'élève en question avait juste envie de devenir populaire et on peut dire que c'est une manière d’acquérir un peu de popularité, à savoir coucher avec le surveillant le plus canon de la planète. Chaque parcelle de son corps est sexy et plus notre conversation avance plus je sens que j'ai envie de lui fondre dessus et de le vampiriser. Donc je pense que la rumeur tient debout. Il faut que je calme mes ardeurs, faudrait quand même pas que je mouille tout de même. Je sais, coucher avec quelqu'un n'est pas autorisé par à peu près tous les règlements de cette académie mais cette règle je l'ai enfreinte plus d'une fois à dépuceler tous ces petits gars qui en avaient marre d'être puceaux. Mais d'un autre côté entre coucher avec un type qui avait juste pas envie d'être encore puceau pour les vacances et un type beau et bien bâti qui semble avoir de l'expérience, je pense que je pourrais enfreindre une nouvelle fois cette règle, et plusieurs fois même ! Ouahh je calme je vas quand même pas lui demander de dessiner notre sextape... Mmh flippant, je me ressaisis. Je commence alors à m'extasier devant le dessin qu'il vient de faire de moi en à peine quelques minutes, je me sens étrangement belle dans la manière dont il m'a représentée. Faut dire qu'il dessine sacrément bien, on dirait pas comme ça, mais j'suis bouche-bée face à ce qu'il vient de réaliser. J'suis qu'une petite danseuse et je sais à peine dessiner une maison à peu près correcte.

Au bout d'un moment je vins m’asseoir à côté de lui et je lui demandais ce qu'il pensait de moi. Je pense que j'avais besoin de la vision de quelqu'un de mâture car celle des gens d'ici ne décolle pas très haut. Les préjugés, les rumeurs tout ça c'est pas vraiment ce dont on pourrait rêver dans une école aussi prestigieuse que celle-là mais je m'attendais à ce qu'il y en ait moins que ça. On fait avec après tout. Cela ne fait qu'une vingtaine de minutes que je parle avec lui et je me sens mieux en sa présence qu'avec n'importe qui d'autre depuis le début de ma scolarité ici. Pourquoi je ne l'ai pas rencontré avant ? J'attends sa réponse, pendue à ses lèvres quand elle arrive enfin : « Comment je te trouve ? Mh… C’est difficile à dire vue que je ne te connais pas très bien, mais ce que je peux dire, avec le peu que je connaisse sur toi, c’est que tu n’es pas une fille ordinaire, et c’est pas mal du tout. Je pense que depuis que je suis revenu en tant que surveillant, tu es l’unes des rencontres les plus intéressantes que j’ai faite. Les idiots qui disent ou qui trouvent que tu es bizarre sont, comme je viens de le dire, des idiots. Ils ne te connaissent pas, c’est tout. Même moi qui te connais à peine, ne te trouve pas bizarre. Sauf lorsque tu pensais que j’allais t’amener chez le directeur, là, c’est vrai, tu es bizarre ! Non, sincèrement, tu n’es pas bizarre, tu es même je dirais très intéressante et originale, que ce soit dans ta façon d’être ou dans ton look. » Je n'aurais pas pu rêver mieux. Ses mots me font comme un baume au cœur, cela me fait un bien fou. Je souris. Mon regard passe de ses yeux à ses lèvres et reste accroché à ses lèvres. Bon je me décide. J'approche doucement mon visage du sien et je ferme les yeux pour enfin pouvoir goûter ses lèvres. Elles sont chaudes et bienveillantes. J'intensifie le baiser en passant ma main droite sur sa nuque. Là je suis désolée c'est mon désir sexuel qui remonte et qu'Alexander ne me dise pas qu'il n'y avait pas de tension sexuelle entre nous. Je me glisse par magie (je dis ça parce que je ne sais moi-même pas comment j'ai fais) par dessus lui pour le retrouver sur ses genoux. Faut dire que le rebord est plutôt haut et large donc ça va, et puis je ne pèse pas non plus quatre tonnes. Je détache enfin mes lèvres des siennes pour rouvrir mes yeux et les plonger dans les siens. Je me mords la lèvre inférieure et je fais sentir que bordel, j'ai envie de lui ! Il est différent et il sait très bien que je suis pas le genre de filles qui va chercher à créer des rumeurs, je suis plutôt du genre à vouloir les éviter. « Découvre-moi. » Je lui susurre à l'oreille.

tout ça pour ça je sais je suis une merde salut  I love you 

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MessageSujet: Re: parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. (alex) [sujet olé olé]   parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. (alex) [sujet olé olé] EmptyLun 21 Juil - 16:57

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Elle sourit à ma réponse, mais à vrai dire, je ne faisais pas réellement attention à son sourire, aussi beau soit-il. Mon regard restait planté sur ses lèvres. Je détournais enfin le regard afin de tenter de croiser son regard. Elle-même semblait perdue dans ses pensées. Je la vois alors bouger légèrement. Avant que j’ai le temps de réfléchir à ce qu’elle faisait, elle avait approché son visage du miens et déposa ses lèvres sur les miennes. Je ferme les yeux comme pour savourer cet instant. Je sens sa main fine passer sur ma nuque et s’y accrocher. Ses lèvres fruitées se pressent plus encore contre les mienne et sans gêne je lui rends son baiser avec la même passion. Je sens alors son corp souple se glisser sur mes genoux. Alors qu’elle prolongeait le baiser, je glissais mes mains dans son dos pour arriver et frôler le bas du dos, soulevant ainsi son tee-shirt et passant mes mains afin qu’elles soient en contact avec sa peau douce.

Elle décide alors de mettre fin à ce baiser, me laissant sur ma faim pour l’instant. Je regardais Frida avec un autre regard que précédemment. Il était vrai que j’étais étonné par son geste, et surtout que ça se soit passé si vite. J’avoue avoir souhaité que le baiser durs plus longtemps, mais toute bonne chose avait une fin.

Ses yeux bleus profonds se plongent dans les miens, je sens son regard devenu sauvage tout d’un coup, comme si elle aussi, elle en voulait plus. Elle se mord alors la lèvre inferieure ce qui me donne une soudaine envie de revenir coller mes lèvres contre les siennes. Je sentais son regard carnassier sur moi, et le mien devait être aussi identique. Je la perds quelques instants, son esprit est ailleurs peut-être moins de trois secondes. Elle s’approche de moi afin de coller sa bouche contre mon oreille avant de me susurrer d’une manière irrésistible un « Découvre-moi. » bref, mais voulant en dire bien plus. Je plonge mon regard dans le sien avant de l’embrasser, une nouvelle fois. Après quelques secondes je décroche mes lèvres des sienne et me relève, la tenant par la taille, ses pieds a elle enroulés autours de ma taille. Si elle voulait vraiment dire ce que je pensais qu’elle voulait me faire comprendre –phrase peu compréhensible m’enfin !-, ce serais plus confortable dans une chambre, ou encore dans un appartement, où personne ne pourrait nous déranger. En tout cas, autre part que le jardin de l’académie dans laquelle je travaille, et dans laquelle Frida étudie. Je le porte afin de l’enlever de ma taille et de lui prendre vivement la main afin de l’entraîner près du parking où ma voiture était garée, prenant des chemins peu empruntés afin que personne ne nous remarque. Une rumeur en plus serait sans doute mal vue.

{Argh... C'est pourrie déso Sad }
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MessageSujet: Re: parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. (alex) [sujet olé olé]   parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. (alex) [sujet olé olé] EmptyMar 2 Sep - 17:56

alexander et frida
parce que t'es beau comme une comète, j't'ai dans la peau, j't'ai dans la tête. ~ 830 mots

Depuis que j'étais arrivée à Artistic Academy, il fallait dire que j'avais toujours eu une réputation minable. J'étais dévergondée, j'osais et je pensais tout haut mes opinons. Ma franchise devait être mon pire défaut. Croyez moi penser tout fort vous joue d'affreux tours, et cela m'a d'ailleurs valu bon nombre de sanctions. "Langue de Pute" est un de mes surnoms, enfin bref vous voyez le genre. Je suis pas une commère comme celles qu'on voit dans "Pretty Little Liars" je suis plus du genre à, quand j'entends une critique sur moi, me retourner vers la personne et au lieu de faire recours à la violence, lui cracher au visage ses quatre vérités. Ça fait peut-être plus mal en fait, ça fait mal dans la tête et c'est peut-être la pire douleur. Enfin bon, tout ça pour dire que quand j'avais envie de faire quelque chose, je ne demandais la permission de personne. C'était ce que j'appelais "ma propre liberté" et cela faisait du bien parfois de quitter l'école la nuit pour se promener dans les rues et réfléchir, penser, laisser son esprit se perdre. Je me fiche pas mal des règles à vrai dire, je pense que vous l'aviez compris, mais bon, comme on dit : les règles sont faites pour ne pas être respectées ou un truc du genre vous m'voyez de toute façon. Baiser avec le surveillant c'est trois fois rien, et s'il peut devenir un bon coup ça ne se refuse pas. De plus il est consentant donc motus et bouche cousu ! Je me vide la tête et profite d'un petit silence pour poser mes lèvres sur les siennes, et là, tout à commencé. Le désir m'est indéniablement monté à la tête. Faut dire qu'avec les examens récemment je n'ai pas eu trop le temps d'aller en soirées ou de prendre du bon temps avec un garçon, qu'il soit dans cette école ou qu'il me soit totalement inconnu. Donc je pense que ce petit moment me ferra du bien.

Visiblement Alexander attendait avec impatience que je l'embrasse et il sembla même frustré lorsque je retirai mes lèvres des siennes pour venir lui demander à l'oreille d'un ton suave et empreint d'envie qu'il me "découvre". Il en redemandait alors que j'étais totalement collée à lui ! Bref après lui avoir mordillé l'oreille il s'empressa de m'embrasser à nouveau et je mis encore plus de passion dans ce baiser que dans le précédent ; je m’agrippais à ses cheveux en passant ma main sous son t-shirt pour sentir ses abdos. Mama Mia, y'en a tellement peu qui en ont ici, en même temps qui a vu un artiste avec des muscles hormis les danseurs et encore les muscles ne sont pas au même endroit... Bref je brûle un peu plus de désir à chaque seconde qui passe. Soudain, il m'agrippe la taille et se relève avant de me poser sur le sol. Son regard ne dit rien de particulier en revanche je suis assez perturbée. Mes inquiétudes s'évanouissent quand il me prend vivement la main pour le trainer vers le parking et ouvrir sa voiture. Je m'installe côté passager, le cœur battant à cent à l'heure, à cause de l'envie grandissante et aussi par le fait qu'on vient de se piquer un petit sprint. Bref je m'attache (j'aime bien ne pas respecter les règles mais on rigole pas avec la ceinture !) et il démarre. Je suppose qu'il veut nous emmener dans un endroit calme à l’abri des regards et donc des rumeurs. Je regarde la route durant tout le trajet sans dire un mot, le regard en disant long sur ce que nous allions faire d'ici quelques minutes j'étais vraiment pressée de passer à l'acte ! Enfin nous arrivons, il ouvre la porte de son appartement, il pose ses clefs et aussitôt je l'attire à moi par le t-shirt et je m'empresse de recommencer à l'embrasser passionnément. J'enlève ma veste pour la laisser tomber par terre. Entre deux baisers je lui murmure : « T'as ce qu'il faut ? » Tomber enceinte m'est déjà arrivé deux fois et l'avortement c'est pas la meilleure chose que j'ai faite dans ma vie, c'est pas drôle du tout. Je préfère d'ores et déjà me protéger, c'est peut-être un bon début, non ? Puis je suppose que lui aussi ne veut pas se retrouver avec un gosse sur les bras et une grosse rumeur encore pire que toutes sur les bras, j'espère juste qu'il en a une sinon je suis bonne pour filer à la Pharmacie m'acheter une pilule du lendemain... Youhou, j'adore faire ce types d'achats, ça détend...

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Nathanaël Von Arlex
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