Après s'être piqué une crise avec l'autre folle de Jenna, Michael décidait de revenir dans la salle commune, pour ne rencontrer que des gens qui le comprenne. Il voulu aller directement à la salle commune, mais il trouvait préférable de se laver le visage avant, quelques larmes ayant couler sur le trajet du retour. Arrivé en haut, il s'aperçut que le plancher se faisait de plus en plus vieux, et qu'il craquait un peu. Il entendit un bruit mais ne l'identifia pas, il pensa donc que c'était peut-être son imagination. Mais peu après s'être rincé le visage, il entendit distinctement quelqu'un parler, une fille

- You hou répondez! Si c’est une blague je ne suis pas d’humeur à rire.

Michael réfléchit à la vitesse de l'éclair, que pouvait-il faire ? a) Répondre que ce n'est rien
b) Ne pas bougez et laissez le temps passer c) ne rien dire et redescendre
Michael choisit la solution -b- et ne bougea pas pendant ce qui lui semblait une éternité. Il se décida enfin à descendre au bout d'une bonne minute, et descendit les escaliers à la vitesse de l'éclaire pour ne pas faire peur à cette personne. Il l'a vit, assise, à écrire des mots sur son calepin, et il se décida à parler, même si elle allez surement sursauter.

- Ce n'était que moi, désolé de t'avoir fait peur.

Michael s'attendait, certes, à ce que la jeune fille sursaute, mais pas à ce qu'elle hurle comme un cochon qu'on égorge. C'est sur, il avait du lui faire drôlement peur et il connaissait l'effet que ça fait quand, tranquille, tu écris quelque chose et que quelqu'un te parle, ça effraie un peu. Elle essaya de dire quelque chose, mais elle n'y arriva pas du premier coup.

- Je… Tu… balbutia-t-elle avant de réussir à articuler une phrase correcte, je ne t’avais pas entendu descendre, tu m’as fait peur…

Héhé, même si ça ne l'était pas vraiment, Michael trouvait ça très drôle, et il réussi à répondre, en rigolant.

- Je suis désolé, ce n'était pas mon but premier.

La jeune fille avait du faire tomber son crayon sous la peur, et elle se baissa pour le ramasser, elle se prit alors les pieds dans son doudou -fort joli, d'ailleurs- et tomba par terre. La pauvre, elle n'avait pas beaucoup de chance aujourd'hui. Michael s'approcha en souriant, la pauvre avait besoin d'un peu d'affection dans son malheur.

- Ça va aller ? Vous... Tu ne t'ai pas trop fait mal j'espère ?

Il regarda pareil et vit le crayon. Il le prit et lui donna.

- Je crois que tu avais perdu ça.

- Euh… Non, je vais bien. Merci.

Elle avait l'air assez gênée, il la comprenait. Elle remit son doudou en place et passa une main dans ses cheveux. Ils se regardaient, sans rien dire, c'était assez gênant, chacun se demandant lequel aller prendre la parole. Ce fut elle qui parla en premier.

- Je me nomme Abby-Gaëlle. Je suis nouvelle, je suis arrivée cette semaine. Toi, ça fait longtemps que tu es ici ?

Abby-Gaëlle.. Abby lui faisait penser à la gothique dans NCIS, et Gaëlle... C'était espagnol, comme nom ? Il se rendit compte qu'elle lui avait posé une question. Sans lui demander son nom, d'ailleurs.

- Depuis 1 mois à peu près.

C'est vrai, il avait fait beaucoup de rencontre en un mois. Et il était sur que cette nouvelle .. connaissance n'aller pas être une amie comme les autres. Michael, fatigué decida de s'asseoir dans le fauteuil à coté d'Abby. Il prit son carnet et nota des mots d'objets, de meuble, d'éléments présents dans la pièce. Il regarda le feu, qui le réchauffait, et il aimait cette lueur, avec quelques étincelles.

Après quelques dizaines de secondes à l'observer écrire, elle lui demanda mon nom.

- Au fait, comment tu t’appelles ?


Il releva la tête.

- Michael, Michael Holbrook.

Puis il replongea dans son écriture. Mais il n'avait plus trop d'inspiration, après cette rencontre. Il regarda la pièce. Une pièce faite surtout de... bois ? Ça donnait un petit air vieux, il y avait des rideaux rouges... On aurait dit une pièce de la mafia ! Enfin, peut-être regardait il trop de films, parce qu'on était quand même dans une école. Il regarda la jeune fille. Elle était blonde, elle avait les yeux... bleu-vert, mais il se peut qu'il se soit tromper, il n'arriver pas très bien à distinguer les couleurs de ses yeux. Surtout à cause de son daltonisme. Il se décida à poser son calepin et son crayon sur l'accoudoir et à se tourner vers la Abby-Gaëlle.

- Il est joli ton doudou.

|| Oulah, étoffez vos RP, vos lignes sont très limites, voir insuffisantes. ||