Première heure de colle mais surement pas la dernière ~ libre

Je n'avais presque rien à me reprocher... Presque rien. Il y peut être une ou deux petites heures de sèches, mais à part ça, rien de bien grave. Mais apparement assez grave pour une heure de colle tous les vendredi soir.
Je soupire et me dirige vers la salle de torture telle un condamné à mort se dieigeant vers son bourreau. J'exagère peut-être un peu mais c'est ça à peu de chose près.
Je suis sans doute le premier danseur de toute l'histoire à traIner des pieds.
Je me demande si c'est à cause de ma taille qu'il on remarqué mon absence au cours on si c'est un simple hasard. Je ne crois pas au hasard. Donc cette question n'est d'absolument aucune utilité.
Je rentre dans la salle de permanance et je m'installe.
Ensuite je sors mon harmonica pour en jouer mais apparemment je n'ai pas le droit de faire de la musique car on me confisque l'instrument aussitôt.
On me demande aussi de changer de sens et de m'asseoir correctement sur ma chaise.
Je m'excecute aussitôt car je n'ai pas envie d'argumenter aujourd'hui.
Il y des jours comment ça...Je me lève donc et tant qu'à changer de position, autant changer de place.
Il y a une classe entière, je me doute qu'ils ne sont pas en colle mais que leur prof : a) etait malade, b) avait besoin de vacances, c) avait envi de vacances.
Je m'installe à côté d'un des élèves et décide d'entamer la conversation, je chuchote :
"- comment tu t'appelle ??"

Anne se dirigeait vers la salle de permanence. Le bruit de la cloche venait de retentir. Les bruits des élèves, les bruits des sacs tombant par terre, elle venait de sortir de sa torpeur. Les pales rayons du soleil réchauffaient son visage. Votre professeur de sport était malade. Anne souris, elle allais enfin être dispensé de ces horribles cours. Même si elle appartenait à la maison Baroque les cours de sport étaient obligatoires. Bien sur elle en faisait moins que les Danseurs. Mais bon. Avec la grâce d’un cygne, une fille d’origine américaine passa devant toi. Elle t’écarta pour laisser passer cet attroupement de filles. Les mains tachées de peintura à l’huile, elle poussa la porte de la salle. Elle arriva la première. Le surveillant la regarda et lui indiqua qu’elle devait prendre place au fond de la salle. La jeune fille se dirigea vers le début de la salle, pur contredire le surveillent. Mais celui-ci n’y prêta guerre attention.
….
Les élèves arrivèrent en masse. Un d’eux commença à jouer de la musique avec un harmonica. Il se le fit confisquer. Il prit place à coté d’Anne et lui dit :
- Comment t’appelles-tu ?
Elle hésita à répondre. Puis elle dit :
-Je m’appelle Anne Ivanelle.

[ Peut venir ?]

[Biensur Amanda ^^ Plus on est de fou plus on rit ^^]

[Par contre, il faudra attendre mon retour d'Amérique pour esperé une réponse, désolé ]

[Oki Natou !!! Pardonne mon incompétence XD]

[Edit Sherlock : pas de soucis ^^]

Je n’aimais pas les heures d’études, sa criaient, sa piaillaient, sa chantaient… Bref je n’aime pas ça, mais il en faut plus pour me décourager. Je venais de finir mon entrainement de piano et j’avais décidé de m’avancer sur mes devoirs pour profiter le plus de mon temps libre. Malheureusement j’avais raison pour les élèves, l’un deux jouait de l’harmonica quelques minutes après il se le fait confisqué par le surveillant. Je m’assoie pas très loin de lui, d’autres élèves arrivent… A croire qu’ils se sont donné tous rendez-vous ici… La foule ne me met pas mal à l’aise mais quand on me parle c’est une autre paire de manche car je me mets à rougir légèrement. Une fille s’assoie sur la table d’à coté. Le garçon que je suppose être de la maison du cygne vu comment il se déplace entame une discussion avec la même fille…

- Comment t’appelles-tu ?

Elle lui répond immédiatement après en lui disant qu’elle se nomme Anna Ivanelle, je me fais toute petite. Mes yeux bleus regardant intensément ma table. Soudain je redresse la tête, pensant que quelqu’un m’avait appelée, les deux élèves se sont tuent.

[C'est à qui de répondre ?]

[On va dire que c'est à moi ^^]

La fille hésita quelques instant avant de répondre. Elle me regarde de ses deux yeux marrons. Elle finit par dire :

"-Je m’appelle Anne Ivanelle. "

Une fille au banc juste derrière moi se redresse vivement comme si on l'avait appellé.
Elle rougit, laissant une mèche de cheveux brun lui caché le visage comme si elle essayait de disparaitre sous terre. Je la regarde amusé, suaf que je ne le mmontre pas car sinon, je crois qu'elle risquerai de devenir encore plus rouge. Je lui lance un sourire encourageant et lui chuchote gentiment :

"- Et toi comment tu t'appelles ?"

Le surveillant me lance un regard mauvais et me demande de me taire. Je hausse les épaules et lui tire la langue sans même attendre qu'il ne se retourne. Et voila, je suis coller une heure de plus. Tout à fait prévisible en faites. Bref je renvois mon attention sur les deux jeunes damoiselle qui se trouve près de moi. Je ne crois pas qu'elles font partie de la maison des cygnes parce que je ne les ait encore jamais vu. En même temps, le jour de mon arrivée, personne ne m'avait encore vu non plus.

Il tira la langue au surveillant. Tu souris. Tu pouffas d’un rire léger. Tu fus collée toi aussi. Enfin. Une de plus ou de moins… On ne compte plus. Il demanda à l’autre demoiselle son nom. Celle-ci rougit. Qu’elle timidité. La timidité, Anne, tu la connais pourtant. Tu sembles l’oublier. Tu sembles faire semblant de l’ignorer. Oh, mais rappelles toi t’es première présentation dans une galerie pour ton œuvre nommée : Vie au bord du fleuve. Donc retournons à nos moutons. Ce jeune homme devait appartenir à la maison des Cygnes et l’autre demoiselle… Tu ne savais pas. Tu réfléchissais. Tu demandas à l’autre fielle qui était assise près de vous renchérissant sur la première question de l’autre élève :

- Tu es de quelle maison ?
Ce n’était pas très français, mais bon…. Tu es douée pour peindre et modeler par pour écrire de long texte façon Molière…..

"- Et toi comment tu t'appelles ?"

Je manque de sursauté, je n’ai pas vraiment l’habitude...Cela devient gênant, me retenant de rougir encore plus, je lève vers lui mon regard bleu, c’était le garçon à qui on avait prit l’harmonica. Je souris lorsqu’il tira la langue au surveillant même si celui-ci n’avait pas le même humour que nous et lui colla une heure de colle supplémentaire avec un petit sourire sadique.

- Tu es de quelle maison ?

Une autre question ? Je regarde la fille qui c’était installé à coté, elle aussi se fait coller…Mais qu’avait donc ce surveillant à coller tout les élèves ? Il faut qu’il se calme. J’observe la fille, elle ne vient pas de la maison Beethoven car même si je suis presque invisible je fais attention à tout et elle n’est pas de la même maison si je puis dire… Non elle doit peindre ou dessinait vu ces mains. Je peux voir une petite touche de couleur sur sa main…Enfin je pense, mais d’abord une question à la fois , comment je m’appelle…

-Je m’appelle Amanda, je suis pianiste donc de la maison Beethoven et vous ?

Le surveillant me regarde, et m’offre gentiment une heure de colle… J’en ai marre de lui, il m’énerve, on peut même plus discuter en paix, je chuchote plus pour moi-même que pour les deux autres :

-Mais qu’est ce qu’il lui arrive à lui, sa copine la plaqué ou quoi ?

Ce n’est pas mon style de râler sur les autres mais il ne faut pas exagérer là, heure de colle sur heure de colle faut calmer sa joie. Je me demande à combien en ai le garçon, qui lui semble assez amusé par la situation.

"Tu es de quelle maison ? "

ranchérie Anne qui se fait à son tour coller. Décidement, j'ai une très mauvaise influence sur les autres élèves, bien qu'il est évident que cette jeune demoiselle n'en est sans doute pas à sa première heure de retenue.

"-Je m’appelle Amanda, je suis pianiste donc de la maison Beethoven et vous ?"

Fit enfin la jeune fille du banc de derrière. Le surveillant la regarde d'un air menacant avant de lui donner à son tour une heure de plus. La situation me fait sourire.

-Mais qu’est ce qu’il lui arrive à lui, sa copine la plaqué ou quoi ?

Grogne Amanda en regardant le surveillant avec un air assassin. La remarque me fait sourire et je renchéris assez fort qu'il ne m'entende.

"- Tu rigoles, je suis sur qu'il n'a pas encore trouvé quelqu'un qui puisse le supporter."

Le surveillant se retourne vers moi avec un regard d'assassin et me colle 2, 3 heures en plus. Je lui souris avec effronterie. A dire vrai, d'une manière ou d'une autre je me serais fait coller, alors je ne m'inquiètais pas trop. Il plongea lan tête sur une liste de nom d'un air rageur. Anne et Amanda me gissèrent un sourire complice. Je passai ma main dans mes cheveux, les enmellant un peu plus. Je leur demandais :

"- Vous en êtes à combien d'heure de colle ? Dans toute votre vie je veux dire."

Beh ouai parce que les heures de colles, moi j'en avait déjà avant. Je suis un sacré habitué. A vrai dire, pas une journée ne se passait sans qu'une punition ne me tombe sur la tête. La preuve c'est qu'ici, en 3 jours, j'avais réussi à me faire coller pour avoir casser la figure à un mec à la piscine (voir [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ), j'avais eu droit à des heures de travaux avec un prof après m'être fait pincer en pleine excursion dans la salle des profs (voir [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et bien sur, une heure de colle maintenant pour avoir séché les cours. Bref, j'étais plutôt doué dans le domaine.
Et Anna ne me semblait pas non plus inhabitué à se genre de problème, Amanda semblait peut-être quand à elle, celle qui avait l'air la plus sage, mais j'avais appris au cours du temps (enfin...je suis pas un vieux sage mais bon...) qu'il ne fallait jamais me fier au apparence.

"- Vous en êtes à combien d'heure de colle ? Dans toute votre vie je veux dire."

Que dire ? Je n'en suis pas à ma première, ni à ma dernière. Je totalise environ 5 heurs sur toutes l'année scolaire a peu près.... Surtout pour mon insolence, enfin... Les professeurs ne comprennent pas ma logique. Exemple : Vendre c'est échanger quelque chose contre de l'argent. Le professeur a pensé que je me fichais de lui, mais ce n'était pas vrai. Quand j'y réfléchis c'est toujours le même qui me colle, qui ne supporte mon air illogique et égocentrique. Mais je ne suis pas centrée que sur moi. Les remarques aussi "C'est Moche...." Les énervent surtout quand on voit des figures qui n'ont aucun sens pour moi. Le sport aussi. La prof ne comprend pas pourvoi je fais les exercice les yeux fermés. Je ra^tes, je suis collée pour insolence et vulgarité envers un autre élève. Bon, je suis calme comme même. Mais sinon. Je lui réponds :

- Là ça fait 6 heures.

Donc je ne supporte pas les gens hautains (me^me si j'en fais un peu partie) et ce surveillant.
J'aimerais lui tirais la langue, mais bon. Mes parents m'ont inscrite icic pour que je sois sage. Donc faut que j'évite ces bêtises. Et puis ils distribuent les heures de colle comme des bonbons au citron. Je rajoute :

- Et puis une de plus ou une de moins on ne compte plus.

"- Là ça fait 6 heures."
"- Et puis une de plus ou une de moins on ne compte plus. "

J'avoue que je ne compte plus non plus !! Et ça depuis longtemps !!
Elle rajoute ça d'un air maussade et je comprends que ce n'est pas elle que les heures de colle dérange mais plutôt ces parents. Il y a des chances qu'ils se soucient plus d'elle que les miens ne se soucie de moi...Après, il y a cinquante pourcent de chance que je me trompe et que se soit juste un soupir d'exaspération, ou même autre chose, je n'en sait rien moi. Je souris en moi même. 6....je me demande depuis combien de temps elle est là. Vu que j'en avais maintenant 3 à mon effectif dans cet école sans compter les ....167 ??? autres colle que j'avais eu dans le dernier établissement qui m'avait jeté et viré avant la fin de l'année. J'avais quand même un sacré problème de comportement. Le pire, c'est que je m'étais juré de devnir un élève un peu plus modèle ici que je ne l'avais été dans l'école précédente, ça semblait facile de loin, mais en réalité, maintenant que je m'y essayais, ça me semblait beaucoup plus compliqué voir impossible. Mais je comptais bien au moins réussir à ne pas me faire expulser d'ici, parole de Faraway !!!
Bref, je me tourne vers l'autre fille, attendant sa réponse.
Elle semble avoir perdu son air timide et n'essayait plus de se cacher derrière ses cheveux, ça me paraissait être un très bon début !!

J’avais lancé ça comme ça et n’avais pas remarqué que j’avais parlé trop fort. Ce fut donc avec surprise que j’entendis la réponse de…il fallait que je lui demande comment il s’appel car nous on lui avait dit et pas lui et sa me dérangé de ne pas mettre le prénom d’une personne sur son visage…

"- Tu rigoles, je suis sur qu'il n'a pas encore trouvé quelqu'un qui puisse le supporter."

Cela me fis sourire même si le surveillant, non, pour une fois je m’amusé en permanence, que c’étais agréable de ne pas essayé de se fondre dans la masse comme j’en avais l’habitude. Juste après ce moquant royalement du surveillant il nous dit :

"- Vous en êtes à combien d'heure de colle ? Dans toute votre vie je veux dire."

Moi à vrai dire c’étais ma première heure de colle, mais sa fessait bizarre comme si je disais : oui c’est ma première heure de colle mais parents ont veillaient à ce que j’en ai jamais pour faire bonne mesure vous comprenez ? Non je n’allais pas dire ça… Mais il est vrai que les deux êtres que j’avais laissé derrière moi m’avaient protégé de toutes bêtises et maintenant que j’étais ici… J’aurais aimé être une petite souris pour voir leurs têtes lorsqu’ils seront que j’ai été collé. Je vois déjà ma mère avec son air hautain dire : il y a surement une erreur ma petite Amanda ne ferais jamais ça ! Mais oublions les ces deux personnes, je me concentre sur la conversation…

- Là ça fait 6 heures.

A y réfléchir ce n’est pas énorme, enfin pas pour elle vu ce qu’elle ajoute ensuite. Moi et les heures de colles on se connait pas, contrairement au garçon aux cheveux blonds qui lui semble un grand habitué. Elle avait ajouté sa sans grande inquiétude. Moi aussi je m’en moquais mais à petite dose seulement. Enfaite être collé ne me fessais pour l’instant n’y chaud, n’y froid. J’observé les autres élèves tous discuté mais le surveillant s’intéressé particulièrement à nous trois. Le garçon ce retourne et attends ma réponse qui tarde à venir…

-A vrai dire c’est ma première heure de colle… Au faite comment t’appel tu ? Je ne t’ai toujours pas demandé.

Le surveillant nous fixes d’un regard malveillant, je ne suis pas la seule à mon avis à en avoir marre de lui, je pense surtout à Anne… Bref mon attention se repporte de nouveau sur mes…amis ? Connaissance ? Je ne sais pas encore…

"-A vrai dire c’est ma première heure de colle… Au faite comment t’appel tu ? Je ne t’ai toujours pas demandé."

Je lui souris. Sa première heure d'étude !! Je pourrais toujours lui demandé conseille si je me décide à réellement vouloir devenir bonne élève. Sauf que en vrai, je trouve que je suis très bien comme je suis. Enfin, pour moi, car le surveillant commence réellement à l'avoir mauvaise. Il nous regarde avec des yeux de merlans frit.
Je lui réponds gallemment :

"- Zachary Faraway de la maison des Cygnes pour vous servir gentes damoiselles"

Je me lève et lui fait la réverance. S'en est trop pour le surveillant qui vient m'attrapper et me traine à une autre table. Je le regarde d'un air mauvais avant de griffonner sur un papier :

"- Vous êtes dans cet école depuis longtemps ??? Si oui, je vous plains, ce surveillant doit vraiment vous tapper sur le système"

Je plie le papier en avion et le lance vers mes deux nouvelles amies. Il s'envole dans les airs et suis exactement la trajectoire que je voulais. Il atterit sur le banc de Anne qui me lance un grand sourire amusé. Rien n'échappe au surveillant qui fulmine et finit par décidé d'ignorer mes provoques. On dirait qu'il va venir m'étrangler à tout moment. Il brule sans doute de me trainer à la direction mais je sais que le directeur est absent aujourd'hui, sinon je ferais un peu moins le gignole. Je sourit à mes " correspondantes qui parlent entre elle avant d'écrire à leurs tours sur le papier.

[J'édite dans la soirée]

[Anne ???]

[oui, je pense qu'on peut arreter. Car là y put grand chose à faire. M'enfin]

UP ??