Asherish... Une bien étrange personne... Plutôt détaché, non, ce n'est pas ça... Hum... Il ne prête pas d'importance a la vie humaine. C'est ça, les humains sont des êtres égoïste, ne pensant qu'a eus et a leurs minable et dérisoire confort. Enfin, selon sont point de vue. C'est surement pour ça qu'il préfère largement dessiner la nature, les arbres, les animaux, ou tous simplement, le ciel, les nuages... les choses simples, qui représentent la pureté a ses yeux. Ou alors, ce qui sors de son imagination peut représenté la nature de l'homme. ce qui donne la guerre, le sang, la mort. La seul chose qu'il déteste dessiner, c'est l'être humain en lui même. Il le représente plus souvent par une ombre ou une masse difforme. Il est persuadé que l'être humain est corrompu jusqu’à la moelle de l'os. M'enfin, il n'est pas toujours dans cette état extrême, il lui arrive de s'émerveillé de tous. Que ce soit mécanique, naturelle ou autre. Il est comme un petit enfant qui découvre la vie, c'est, selon lui, une manière très intéressante d’appréhendé le monde. Plutôt étrange selon la majorité de ses fréquentations. Il lui arrive d'être en colère, c'est très rare, mais ça arrive. Ses colères sont dévastatrices, mieux vaut ne pas être là quand elles se déclarent, car il ne fait plus de distinctions entre humain sympa et humains pas sympa. Oh ? je ne vous ai pas parler des humains sympa et des humains pas sympas ? Bah, c'est simple, Asherich sépare les humains en deux groupe, les sympas et les pas sympas. Bon, ensuite ça reste des humains, donc le mal incarné. Il se classe lui même dans le groupe des humains sympa. m'enfin, faire le contraire aurait été idiot et Asherish est tout, sauf idiot.

Asherish Crudelis a grandis dans une petite maison, au milieu de la foret. Il vivait là bas avec son père qui ne supportait pas les villes. Il vivaient d'un petit élevage et de la chasse. Ils ne tuaient que pour se nourrir. Ce n'était pas vraiment une vie facile mais elle était simple, sans encombre, sans problème plus grave que d'avoir oublier de nourrir les poules, par exemple. Le père d'Asherish lui faisait voir la nature et sa beauté. Tous deux pouvais passer des heures a écouter le chant des oiseaux sans rien faire d'autre. Il leurs arriva même de guérir un renard blessé, même s'il risquait d'aller chasser leurs poules une fois guérit. Selon le père d'Asherish, ce genre de comportement était égoïste. Peu importe si le renard s'en prenait au poules ! Le renard était blessé et il méritait donc qu'on l'aide. Le petit Asherish, adopta dès son plus jeune âge la mentalité de son père, ou du moins il essaya . Mais il ya avait une chose qu'il ne comprenait toujours pas. Les humains était civilisé, non ? Et la nature sauvage ! Pourquoi, alors, la nature était plus importante que les humains ? Lorsqu'il posa cette question a son père, ce dernier se contenta de l'amener en ville, un endroit ou le petit n'était jamais aller. Toute cette agitation l’effraya, les gens se pressaient, se bousculaient et des engins hyper bruyant passait hyper vite au milieu de tous ces gens. De quoi effrayé n'importe qui qui n'a jamais vu la ville. Après y être resté une heure pendant lequel le petit resta accroché a son père, ce dernier le ramena dans la foret. La foret... Un endroit calme, sans plus de bruit que le chant des oiseaux. Asherish se rendit alors compte que son père avait raison. La nature, les animaux, soit disant sauvage était cent fois plus censé que les êtres humains, soit disait civilisé. Dès cette instant, il se mit a haïr les être humains, a par ceux qui pensaient comme lui, c'est a dire lui et son père. Tous aurais pu continué comme ça mais la foret fut condamné a être défriché et lorsque le père refusa de bouger de sa maison, on se rendit compte que le petit Asherish n'était jamais aller a l'école. Il fut donc envoyé en internat, il faut dire que c'était très difficile pour lui qui était habitué a la foret plutôt qu'au grands bâtiments. Tout ces humains lui faisait peur,il n'avait pas envie de savoir quoi que ce soit sur les maths ou autres, tous ce qui l'intéressait, c'était revenir dans la foret. Jusqu’à ce qu'il découvre le dessin. Cette chose étrange qui lui permettait de retourner dans la foret sans vraiment se déplacer. Il découvrit bien vite qu'il avait un don pour ça et, dans sont idée que l'être humain est un être jaloux et cupide, il préféra le caché, par peur de faire des jaloux.

De beau cheveux blond. Blond comme les blés. Deux grand yeux innocents mais pas ignorants. Deux grand yeux vairons. Un oeil bleu, un oeil vert. L'un couleur de la mer changeante, prête a changer d'humeur a tout moment, l'autre couleur foret, calme et pure, mais dont les colères sont terribles. Grand, plutôt élancé, même.