Je reposai mon verre de vin. La tête avait commencer à me tourner légèrement.
Je fit signe tout de même au serveur de m’apporter une autre bouteille. Ça faisait près d’un mois que j’était arriver à l’académy et je ne me sentais pas mieux. Au si, l’école dépassait mes espérances, les élèves était charmants et les colègues extrèment accueillants. J’avais même une amie. Eva Snow.Mais aussi proches que deux colègues pouvais l’être en si peux de temps, elle ne connessait rien de mon passé, de la dépression que je vivait. Je ne lui avait même pas parler de ma tentative de suicide il y avait trois ans. J’étais très mal dans ma peau. Et je suivais des térapie, je consultais des psychologues pour essayer de me sortir de mon état sombre.
Le serveur revint et posa une bouteille de vin que je pris et vider une parti dans mon verre. Il ne quitta pas la grâce de mon geste. Grâce qui devait être un peu gâcher puisque j’étais ivre.
Je rompit un petit pain que je beurée. J’adorais manger du pain tout en buvant, je devait tenir cela de mes parents puisque mes grand-parents buvait sans rien manger. Pourquoi pensais-je si souvent à eux? Les gens était-il si déprimé après la mort de leur grand-parents qui avaient tenus le rôle de tuteurs?
Après avoir grignoté un moment, je me levai pour aller aux toilettes.
Je défroissé ma robe blanche. Toujours l’apparence avant tout. L’apparence, tu parles, une femme saoule dans un restaurant avait très peu de dignité, à quoi bon soignée son image.
J’indiquai au serveur que je n,avais pas encore terminé et revint rapidement.
En m’assoyant, je la vie. Une panique monta en moi. Comment allais-je m’expliquer que j’était saoule? Bien qu’on sois vendredi soir, on ce saoulait pas de la sorte pour le plaisir et de plus, seule. Je me creusai la tête pour trouver une justification à mon comportement en espérant qu’elle ne me remarque pas.
Se fut peine perdu, au moment où elle m’apperçu, elle vint directement me voir. Elle était souriante, enjoué, joli et énergique. Du moins, jusqu’attend qu’elle remarque la bouteille vide et l’autre pleine déjà ouverte.

« Bonjours Eva. Qu’elle dommage que vous veniez juste d’arriver, je partais... »

Pitoyable, mon mensonge me remplit de honte.

« Ok, non, ce n’est pas vrai. Je suis cependant très gêné." avouais-je d’une petite voix.

Le premier mois avait filé très vite, plus vite que je ne puis l'imaginer,  J'étais bien placée dans cet environnement scolaire et m'y accommodais avec assez de facilité.  Cette semaine encore, j'ai parcouru une pile pleine de travaux, guettant les moindres erreurs de ces élèves si bons en musique, mais parfois si nuls en français...  Les SMS, quel fléau...  On dirait qu'ils ne savent pas utiliser un dictionnaire!  Des réponses d'une phrase, c'est tout, et il y a parfois cinq fautes dans une phrase de 10 mots...
Mais bon, ce n'est pas pour penser à ce genre de choses moroses que je suis sortie en ce beau vendredi soir.  La température est tolérable, même pour une fin de soirée, ce qui me permet de me contenter d'une simple blouse en soie blanche translucide par-dessus une robe en coton bleu foncé.  Très joli, selon moi.  Au pire, je peux bien porter ce que je veux!  
Bref, bref, bref...  J'entre enfin dans le contexte chaleureux du restaurant.  J’aperçois alors ma bonne amie Mira.  Elle m'a déjà repérée et semble...  paniquée.  J'approche, et c'est alors qu'elle me sort une défaite débile...  Surtout considérant la bouteille a peine ouverte sur la table...

« Bonjours Eva. Qu’elle dommage que vous veniez juste d’arriver, je partais... Ok, non, ce n’est pas vrai. Je suis cependant très gêné.»


Je la regarde un instant, elle est ivre, ça se voit.  Je décide quand-même de m’asseoir en face d'elle, demandant au serveur une bonne bière importée.  (Je préfère ce qui est plus rude) Une fois le verre en main, et n'ayant pas quitté Mira du regard, je me penche légèrement au-dessus de la table et dit: 


«Mira, de ce que je sais de toi, tu es une femme bien trop disciplinée pour faire ce genre de choses...  Qu'est-ce qui se passe?»


Et voilà, je jouais ma psy de l'alcool... Encore, pour la je-ne-sais-combientième fois dans ma vie...

«Mira, de ce que je sais de toi, tu es une femme bien trop disciplinée pour faire ce genre de choses...  Qu'est-ce qui se passe?»

Je soupir doucement. Et oui, Eva me connaissais que trop bien.
Je regarder la bierre arriver d’u nair morose.
La marque m'arrache un sourire nostalgique. Mon grand-père buvait la même. Ce qui me plongea dans mes souvenir. Je passait des après-midi à parler avec lui de théâtres et d'oppéra. Moi avec  mon jue de raisins, mon frommage et lui avec sa bierre et ses cigard. J'avait même l'image de lui dans ma tête. Sa chemise de flanel bleu délavé et son pentalon de velour brun. Il se berçait dans sa chaise sur la galerie.
Je revint rapidement à la réalité pour répondre à mon amie, à ma collègue et peut-être futur confidente.

« Non, ça ne va pas. »  murmurai-je.

Comment lui expliquer ce que je ressentais?   En ce moment, depuit quelque années. Depuit ma ruptures, depuit la mort de mes grand-parents.
Je vider un autres verre de vin assez rapidement.
Je la regarder et les larme inondèrent mes joues.
Honte, honte, grosse honte.  Mon masque de perfection et de de calme se fractionnait pour disparaitre.
Je ne savais plus quoi faire. Pour lui expliquer, pour lui faire comprendre ce que je ressentait.  Alors que moi même je ne me comprenais pas.

« Je ne suis pas vraiment heureuse. Il y a trois ans, j’ai tenté de me suicider. Je suis mal dans ma peau, je me sents seule. »

Je demander au serveur de m’apporter la carte des desserts.  je prit un essuie-tout et je le passé sur mes yeux. Je me moucher également..

Elle sembla me comprendre. Ce fut un telle soulagement. Je me sentais déjà assez mal avec mes propres pensés que je n’aurais pas supporté qu’elle me face un sermon. Je m’en voulu aussitôt de cette pensé. Eva ne faisait jamais de sermon à ce que je savais sur les autres quand il ne se sentais pas bien. Quoi qu’il en sois, je me senti soulagé de sa compation et ses paroles furent pour moi d’un très grand réconfort.

«Je sais très bien ce que ça fait de penser qu'on a plus sa place dans la vie, qu'on est rien d'autre qu'une âme à la recherche d'un sens... Mais tu n'es pas seule Mira, il y a des tas de gens autour de toi, et je suis là moi, et je veux t'aider.»

De l’aide. J’en aurais tellement de besoin. J’aurais besoin de parler là maintenant de ma trahison, de la mort de mes grand-parents et de tout cela. Machinalement je porte la main à mon cou où y était suspendu les alliances de mes grand-parents. Il serais peut-être temps de les laisser reposer en paix et d’essayer de vivre ma vie. De me marier et fonder une famille. Sauf que je n’avais rencontrée personnes qui s’intéressais à moi ou bien qu’il m’intéressais.

« J’ai grandis en Italie chez mes grand-parents. Ma mère ne voulais pas de moi et mon père, je ne le connais pas. » Je prit une gorgé de vin après avoir remplit de nouveau mon verre, mais je ne le vidé pas. Bon signe? Aucune idée.
« J’ai ggrandit entouré de leur amour, leur bonheur, leur tendresse, leur affections toute mon enfance et adolescence. Enfin, sauf qu’à 16 ans, mon grand-père est décédé d’une crise de coeur. Ma grand-mère na plus jamais été la même. Elle est décédé elle aussi d’un infarctus un an après. »

Je me tue, essayant de rassembler mon courage pour poursuivre mon histoire.
Pour éviter de continuer tout de suite mon histoire, je consulté la carte et commander sans y pensé au serveur une salade de fruits.
Une salade de fruits? réalisai-je dans les brume de mon cerveau. Salade de fruits et vin? Décidément, j’avait trop bu j’en perdais mon jugement.

[Nous demandons 8 lignes complètes minimum sans compter les dialogues, merci de modifier ton post Eva s'il-te-plait ^^ Tu n'as que 5 lignes]

J'essaie bien...  C'est pas toujours évident.  (Et puis, j'ai tendance à faire 20 lignes et plus d'habitude, alors je crois que ça se passe de commentaire...)

Mon vin commence à me donner mal au coeur. Je le change pour de l’eau. Je n’aime plus la sensation de la tête qui me tourne. J’ai abusé, mais vraiment ce soir. Je reporte mon attention sur elle et écoute ce qu’elle me dit avec fataliste.

«Je... Je ne peux pas vraiment te comprendre... Ayant eu mes parents auprès de moi toute ma vie, et encore aujourd'hui, c'est un peu choquant de voir que la vie peut être si injuste.»

Injuste. Ce mot roule dans ma tête. Combien de fois j’avait pensé cela? Que la vie était injuste. Existait-il une balance dans le monde qui équilibrait les choses que nous possèdions. J’était douer en langues, j’avait eu aucune difficulté à l’école. J’était belle femme. En contre-parti devais-je resté tristes et malheureuse toute ma vie?
J’espèrait que non.
Je la regarde commandé son gâteau. Pour ma part, je rectifie ma commande gêner. à la gêne. J’était toujours ambarrassé quand j’était en position de faiblesse.

« Oui, la vie à été injuste avec moi. Peut de temps après la mort de mes grand parents, j’ai rencontrée quelqu’un. Je croyais que cette personne m’aiderais à sortir du gouffre. Ça été vrai au départ, mais il est parti ensuite avec une de mes amies. Ils sont marié et on trois enfants. Et pour moi, se fut le début de ma descente aux Enfers. »

Je serre les poing. la colère remontait à la surface. Mon expression de rage, de tristesse et de rencoeur devait se lire sur mon visage, car même le clients à côté détourna les yeux quand il croisa mon regard.
J’inspiré pour me calmer.

|UP|

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