Enfin, j'y suis.  Artistic Academy.  Je n'aurais jamais pu m'imaginer aussi merveilleux.  Depuis que j'ai eu ma confimation pour le poste, mes parents sont fous.  J'ai dû les calmer plusieurs fois.  Ensuite, il y a eu mes bagages que j'ai dû faire pour ensuite les envoyer ici.  Et finalement, les au-revoir.  Et dire que je ne reverrai pas ma famille avant longtemps...  Ce n'est pas le moment de penser à ce genre de choses!  

Je regarde autour de moi, ce décors si magnifique...  Je me sens comme une princesse!  Mon coeur se sent léger... Cette sensation, je ne l'ai pas eue depuis fort longtemps, celle d'être libre et moi-même, enfin.  L'allure de château de l'académie me remet en tête certains airs au violon...  Un jeu vidéo je crois...  Ah oui!  Le medley de Zelda par Linsday Stirling!  J'en ai joué des airs!  Il est donc fort normal que seuls quelques-uns soient directement à la portée de ma mémoire.  Portée... Ok, blague à part...

Je commence donc à siffloter, traînant encore derrière moi ma précieuse harpe.  Cet instrument ne m'a plus jamais quitté depuis ma dépression.  Il est une partie de moi, ma moitié.  J'irais presque jusqu'à la marier!  Non, c'est un peu excessif...  Mais vraiment, à chaque fois que je me sens triste ou en colère, je vais en jouer et ça me calme.  J'aime le son des cordes lorsqu'elles vibrent sous mes doigts.  Doux comme le son délicat d'un ruisseau.  Je dois avouer aussi, que j'aime beaucoup le sentiment de supériorité qu'elle m'apporte, du fait qu'il est extrêmement compliqué d'apprendre à jouer de la harpe.  

Mon pas rapide, qui fait flotter librement mes longs cheveux blancs de neige, me mène bien vite vers le bâtiment des professeurs.  Les indication données étaient bien les bonnes!  Lorsque j'apperçois, non-loin, une femme qui semble chercher sa route autant que moi.  Nouvelle elle aussi?  Je dirais qu'elle fait mon âge, avec de longs cheveux blonds et des yeux...  Oh!  Turquoises!  Eh bien, on à ça en commun.  Je lui envoie la main avec un sourire.

«Dites, vous cherchez le bâtiment des professeurs?  C'est par ici.»

Dis-je en lui montrant d'un geste de la tête le bâtiment vers lequel je me dirige.  J'attend sa réaction et/ou réponse et poursuit, d'un ton aimable et poli:

«Vous êtes nouvelle je crois...  Moi aussi.  Entre semblables, vaut mieux s'entraider!»

Je lui souris en penchant légèrement la tête sur le coté, dans un geste purement adorable, ce qui accentue le fait que je ressemble à une poupée.  De vue, elle semble amicale, mais ce n'est qu'une première impression...
Je laisse le son mélodieux de ma voix se rendre jusqu'à elle et attend gentiment sa réponse.

Depuit mon arrivé je n’avait croisé personne pour m’aider sauf la secrétaire qui s’était empressé d’aller déjeuner. Le décors de l’accademy était encore plus somptueux que sur les photos. J’était arriver il y avais peu épuisé part mon long voyage en avion depuit l’Italie. Je ressentait les effet du décalage horraire.

Parfois, je me demandais pourquoi j’avais décidé de changer de travail pour m’en aller de ma terre natale.  Cependant, il était trop tard pour changer d’avis.

Ma mélancolie n’était pas juste lié au changement dans ma vie, mais aussi la date qui s’en venait. Bientôt 14 ans que mon grand-père était décèdé et il me manquait toujours autant.

«Dites, vous cherchez le bâtiment des professeurs?  C'est par ici.»

«Vous êtes nouvelle je crois...  Moi aussi.  Entre semblables, vaut mieux s'entraider!»

Je me retourne en entendant la voix.

Je regardai la jeune femme qui trainait un splandide instrument. J’en fut abasourdit. Vue son âge et la direction qu’elle prenait, j’en conclut qu’elle devait être une enseignante.

« Merci, mais les indications sont très clairs. Je suis Mira Aldero, nouvelle enseignante d’art dramatique, et vous? »

Je me rapprochai et lui serré la main.

Trame sonore:   Lindsey Stirling - Crystallize


 Sincèrement, je devrais me taire parfois.  Ce n'est pas parce que j'ai une très belle voix que je dois nécessairement passer pour une idiote.  Et si elle me revenait avec une phrase du genre "Non mais, de quoi tu te mêles?" ou encore "C'est pas parce que t'es belle que tu dois faire ton intéressante!".  Ou... Peut-être pas...  J'ai trop l'habitude des moqueries, même venant d'autres professeurs, que c'est un peu imprégné en moi...  Je devrais peut-être aller en thérapie pour ça.  Quoi qu'il en soit, elle me répondit fort gentiment, avec amabilité même.

«Merci, mais les indications sont très clairs. Je suis Mira Aldero, nouvelle enseignante d’art dramatique, et vous?» 

Elle vint vers moi et me serra la main.  Je lui fit un grand sourire et lui répondit de ma voix de soprano lyrique léger colorature (voir lien wikipedia au bas du post) qui avait de quoi ébahir plusieurs personnes.  Oh, quand je sors ce terme, c'est le plus souvent en cours...  Mais j'aime bien me le rappeler à moi-même...

«Aria Eva Snow, mais vous pouvez m'appeler Eva.  Je suis la nouvelle professeure de musique et... J'ai vu que vous regardiez ma harpe.  C'est sûr qu'un instrument demandant un étuis de cette taille à de quoi impressionner!  Et puis, avant qu'on ne me pose la question, non je n'ai jamais été vers une carrière de chanteuse ou musicienne, c'est trop d'encombre.  Et puis, ça ferait troooooooooooooooooop plaisir à mes parents qui me le redisent sans cesse que je devrais me lancer et blablabla...  Oh, je parle trop parfois...»

Je ris doucement en me disant que cette Mira était fort sympa, rien à voir avec les imbéciles des établissements publics, qui vous prennent de haut juste parce que vous enseignez une matière faussement jugée inutile.  Certains élèves plus timides, mes chouchous au fond, les seuls qui écoutaient vraiment le cours et y participaient, pouvaient voir leurs notes augmenter à vue d’œil.  Selon moi, c'est la détente du cours de musique, impossible à avoir dans un autre cours, où le cerveau travaille trop, qui les aidait à mieux apprendre.  Je ne dis pas cela pour me vanter, loin de là!  Mais la détente est un élément essentiel de la réussite scolaire.  Si on reste toujours stressé, sans la moindre pause, le cerveau surchauffe et c'est la cata'.  Lorsqu'on chante ou joue d'un instrument, ce n'est plus la tête qui pense, mais le cœur.

(Lien wiki >  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] )

Sa poigné de main est ferme. J’ai un peux du mal à ne pas juger le monde par leur poigner de main. Souvent les gens qui évitaient de me serrer la main convenablement m’était entipatique même si je le cachait.

Autre éritage de ma grand-mère bien aimé notre capacité à garder ses sentiments pour soi même. Ce qui était parfois salutaire, mais parfois non. Les gens m’avait souvent traité d’hypocrite. Je ne le voyais pas ainsi. À mon sence, il y avait des moments pour dire ce que l’on pensait et d’autre moment pas. Et pour moi, toujours critiquer les gens et les rabaisser ne faisait pas partit de ma politique.

Par contre, ma grand-mère comme moi contre-balancions cette omition avec la franchise. Parfois, nous devions faire des acrobatie linguistique pour ne pas trahir nos émotions.

Naturellement, j’avais déjà été surmerger part mes sentiments. Le résultat n’était pas toujours joli à voir.

tout ça pour dire que ma première impression de cette femme était pausitive.

«Aria Eva Snow, mais vous pouvez m'appeler Eva. Je suis la nouvelle professeure de musique et... J'ai vu que vous regardiez ma harpe. C'est sûr qu'un instrument demandant un étuis de cette taille à de quoi impressionner! Et puis, avant qu'on ne me pose la question, non je n'ai jamais été vers une carrière de chanteuse ou musicienne, c'est trop d'encombre. Et puis, ça ferait troooooooooooooooooop plaisir à mes parents qui me le redisent sans cesse que je devrais me lancer et blablabla... Oh, je parle trop parfois...»

Je ris avec elle.
« je connais ça moi aussi. Certaines personnes de mon entourage me voyais comme grande comédienne, mais je préfère enseigner mon art que le pratiquer sur la scène. »

Inutile de lui préciser que cette entourage en question avait été Andrew Vand de camp, le seul amoureux que j’ai eu et qui m’avait largué pour ma meilleure amie.

Je chassai ses souvenirs triste qui m’emplissais non pas de colère mais d’un grand désespoire. J’avais temps espéré après la mort de mes grand-parents pour avoir que récolté des déception.

« Le décors est splendide, je n’est jamais vue un telle endrois consacré à l’éducation. »

« je connais ça moi aussi. Certaines personnes de mon entourage me voyais comme grande comédienne, mais je préfère enseigner mon art que le pratiquer sur la scène. »

Je vis pendant quelques secondes une vague déception passer dans ses yeux, une sorte d'ancien ressentiment.  Je ne saurai peut-être jamais ce que ce pauvre coeur tourmenté à pu ressentir.  Néanmoins, je lui fis un petit sourire amical.

«Il est fort vrai que d'enseigner est la plus belle chose qui soit.  Transmettre le savoir à la prochaine génération et leur donner le goût d'avancer»

Je souriai tout en continuant de marcher.  Mon éternel sourire, ouais.  Des fois, je devrais me retenir un peu...  J'ai l'air idiote par moments, une vraie nouille.

« Le décors est splendide, je n’est jamais vue un telle endrois consacré à l’éducation. » 

«Bien vrai, je crois que c'est d'origine en plus, faudrait se renseigner.  C'est grandiose comme environnement, comme architecture.  C'est magnifique!»

Je m'étends sur le sujet, oui...  C'est ma manie de jacasser comme une pie.  Je suis très forte sur la conversation, et très, hum hum, déniaisée.

«Bref, j'ai fort hâte de commencer, et toi?»

On me reproche parfois mon enthousiasme, mais, est-ce vraiment mal?  C'est ce qui fait avancer le monde.  Ça, et garder une discipline de fer, car sinon, on se retrouve avec des problèmes ambulants, c'est-à-dire des élèves turbulents.  Cela n'est pas dans mes intérêts faut dire, j'en ai trop vu pour en vouloir plus!  Yen a qui aiment les problèmes, pas moi!!!  Bref!  Ne nous éloignons pas trop!  Euh, en fait, nous approchons du bâtiment, j'ai tant hâte!

Je mit du temps à reprendre mes esprit.
Heureusement, sont commentaire me permit de sortir de mes pensés qui m’avais mené au bord des larmes.

«Il est fort vrai que d'enseigner est la plus belle chose qui soit. Transmettre le savoir à la prochaine génération et leur donner le goût d'avancer»

« Enseigner me permet de vivre. » dis-je d’une voix qui trembla malgré toute ma velonté.

Le poid accablant de la tristesse se fit encore sentir à ma grande horreur et honte.
Beaucoup de personne ne me comprenait pas. Une femme comme moi ne pouvais être déprimé.

Moi même, je m’interdisait d’avoir des coup de cafar.

Tu est une belle femme, tu as u nsalaire, tu es en parfaite santé, arrête de déprimer, bon nombre de personne voudrais être à ta place. Le problème vien pas des autres, mais de toi. Du nerf, tu es forte.

Je me répètais les même paroles sans cesse depuit ma rupture.

J’étais une femme faible je le reconnaissais velontié.
Je secouai la tête pour chasser mes idées morose une bonne fois pour toutes.

«Bien vrai, je crois que c'est d'origine en plus, faudrait se renseigner. C'est grandiose comme environnement, comme architecture. C'est magnifique!»

«Bref, j'ai fort hâte de commencer, et toi?»


« Oui beaucoup, mais je me demande si les élèves ici sont plus respectueux et plus intéressant que ceux dans les école traditionnel. Ils sont parfois d’une méchanceté...

Je ne terminai pas ma phrase, ma nouvelle colègue devant certainement savoir de quoi je parlais.

À ce dernier propos je froncé les sourcils un peu mécontente. Mon ancien amoureux avait été un de mes ancien élève.

Je portait encore le poid de la culpabilité et de la honte sur mes épaule.

Pour me redonner une contenance, je défroissé ma robe d’un bleu pâle et changer d’épaule mon lourd sac.
Je continuer à marcher tout en écoutant le babillage de ma nouvelle colègue.

J’espèrait sincèrement que nous pourrions êtres bon amie.

[Mira attention à la taille de ta réponse, il faut 8 lignes complètes hors dialogue, merci =) ]

« Enseigner me permet de vivre. »

Sa voix s'était faite tremblante, elle semblait triste.  Je me demande ce qui peut la tracasser à ce point...  Ce n'est pas de mes affaires, je la connais à peine.  Elle en vint pourtant à répondre à mes paroles.  

« Oui beaucoup, mais je me demande si les élèves ici sont plus respectueux et plus intéressant que ceux dans les école traditionnel. Ils sont parfois d’une méchanceté... »

Elle est originale, tout en étant un exemple à suivre.  J'aime bien ce genre de personne, elle me fait penser à ma mère.  Si on lui reproche quelque chose, au lieu de se plaindre, elle va se faire un sang d'encre pour rien.  Moi je ne suis pas vraiment un exemple.  La tête dans les nuages, les pieds bien plus loin...  Ne m'écoutez pas, je divague!

«Absolument.  Il est fort troublant de constater à quel point ces petits garnements ne savent pas se tenir.»

Je retins un rire.  Nous entrions à l'intérieur, où l'air frais me fit du bien.  Même si j'aurais adoré me promener à poil pour me rafraîchir...  Ok, j'arrête sur ce sujet!  Il m'arrive d'avoir ce genre de pensées un p... énormément déplacées.  Je suis comme ça, honnête avec moi même.  On est tous faits pareil au fond, où est la gêne?  Si on ne peut plus s'affirmer, je me demande où s'en va le monde!

«Bon, eh bien je crois que c'est ici que nos chemins se séparent, pour le moment.»

Dis-je en m'arrêtant près de la porte, un sourire délicat accroché à mon visage de poupée.

«Au revoir, et à bientôt, chère nouvelle amie!»

Je lui envoyai la main et parti de mon coté en sifflotant, traînant encore ma harpe derrière-moi.