"-Tu as bien fait. J'espère qu'elle ne t'as pas frappée ?"

La jeune blonde leva ses yeux gris aux ciels. Son frère la prit dans ses bras, elle reconnaissait l’odeur, elle lui était familière, rassurante, elle savait qu’elle était en sécurité avec lui. Mais franchement sa question était un peu stupide. Arrivait-elle à le tromper lui qui la connaissait par cœur ? Il s’avait pourtant qu’elle ne l’aurait jamais laissait porté la main sur elle. Pauline à l’impression qu’on la sous-estime elle ne sait pas si ça doit lui faire plaisir ou non. La prendre pour un petit être fragile qui en fait ce révèle être le contraire. Mais la sa l’agacé un peu beaucoup. Que son frère croit ça et puis il ne pouvait pas vraiment comprendre ce qu’il c’était passé lorsqu’il avait disparu. Stanislas c’était montré plus proche de Pauline que jamais. Sa mère malgré son sale caractère avait compris qu’elle ne pourrait pas manipuler la jeune fille. Elle ne lui obéirait jamais et elle n’obéirait à personnes d’autres. Elle avait suffisamment obéit dans sa vie : son père, sa mère, ses profs, son frère par moment, les amis de son frère. Marre d’écouter, d’obéir. Son regard gris devient vitreux, elle avait réfléchi il y a quelques temps. Elle en avait eut marre de toutes ses leçons à retenir dans les gestes des autres. Maintenant elle était libre de choisir de décider.

"-Ne me dis pas qu'elle l'a fait !"

Elle secoue sa longue chevelure blonde et revient à la réalité. Il partait au quart de tour tout comme elle. Sauf que lui il tapé plus facilement qu’elle. Pauline utilisé d’abord les mots puis les coups. Elle se doutait que ça devait être dans leurs gênes transmis par leur père cet emportement facile. Il s’énerve et elle doit le calmer. C’est ce qu’elle fait toujours. Son frère l’écoutera, elle comprend tout à fait pourquoi à chaque fois il s’énerve et elle ne veut pas qu’il lui arrive du mal. Elle avait toujours peur qu’à cause de cet emportement son père le chasse…C’est lui qui était parti…Et maintenant qu’il était de nouveau avec elle, elle ne voulait pas qu’il parte. Il fallait qu’elle l’en empêche. Elle lui attrape le bras et l’oblige à la regarder. Un sourire rassurant sur son visage, des yeux calme et sage.

-Ne t’inquiète pas, elle n’a pas intérêt à lever la main sur moi et tu sais que je peux me défendre…Après si tu me crois pas je vais finir par te faire une démo mais n’oublie pas que j’ai eux un bonne exemple grand frère…

Elle lui sourit. Une assurance qu’elle n’avait développé que depuis peu…Depuis son départ en fait. Se rendait-il compte qu’elle n’était plus comme il l’a connaissait ? Enfin elle n’avait pas changé clairement mais juste que son caractère s’était endurci. Elle avait changée pour se protéger. Protéger des autres, de la tristesse, de la perte. Sa vie d’avant est oublié maintenant il y a le présent et le futur. Adieu passé bonjour avenir. Voilà ce qu’elle se disait alors que son regard était plongé dans celui si familier de son frère.

“-Tu es assez forte maintenant.”

Elle ne savait pas quoi faire quoi dire. Ses yeux gris cherchaient ceux si familier de son grand frère. Elle n’était rien sans lui, elle n’aurait jamais était elle. Pourquoi ce sentait-elle tellement à fleur de peau en ce moment. Sa présence avait réveillé des choses qu’elle avait oubliées. Elle cacha se qui s’insinué en elle petit à petit. Elle avait suffisamment craqué aujourd’hui ce n’était pas le moment de recommencer. Son frère se leva, elle du lever le regard, il avait grandi…Il avait toujours était plus grand qu’elle. Ça donné encore plus l’impression qu’il pouvait la protéger.

“-Je dois y aller Line, on se voit au réfectoire. Je t'aime.”

L’entendre prononcer ses deux mots la changea. Elle était troublait bien sur qu’elle l’aimait elle aussi mais quand était-ce la dernière fois qu’elle lui avait dit ? Il parti trop vite, elle ne l’avait pas vu depuis une éternité et même s’il était resté une journée ce n’aurait pas été assez. Un baiser sur son front et il fila. Elle le regarda partir. Ses contours se firent de plus en plus flou jusqu’à disparaitre de son champs de vision. Pauline avait dorénavant son regard gris sombre rempli de mélancolie et de tristesse. Malgré sa promesse de la revoir le soir même au réfectoire Pauline avait senti ses paroles comme un au revoir. Leur relation serait-elle encore pareille maintenant ? Pauline avait peur…Peur que chacun face sa vie et qu’ils se perdent de vu. Elle ne voulait pas mais elle ne pouvait pas non plus abandonner sa vie. Pauline l’aimait trop, les fêtes, les sorties…Impossible de changer de vie. Mais l’académie était grande. Les moments seraient rares chacun avec ses amis respectif…

-Moi aussi Frérot…Moi aussi je t’aime

Elle avait murmuré ça d’une voix faible. Elle ne voulait plus penser à cette discussion rejetée ses sentiments. Fuir ses pires cauchemars. Un jour ils la rattraperont et elle aurait beau courir la jeune fille blonde se ferait attrapé. Elle ne donnerait pas cher de sa peau à ce moment là. Les larmes aux bords des yeux elle se dirigeait vers quelques part un endroit ou elle pourrait réfléchir sans qu’on la dérange. Elle ne savait plus quoi faire. D’un pas à la fois lent et décidé elle alla vers les écuries. Mais elle renonça. Non pas d’endroit ou elle était seule confronté à elle-même car elle serait bonne pour une partie de déprime. Elle regagna donc l’endroit ou était ses potes et Seven. Malgré se qu’elle se disait elle avait eut l’impression que ça cette discussion sonné comme un adieu…Adieu à quoi ? Elle ne voulait pas le découvrir.