Winter -014-015 - Pear, Spark & Lastie |
| | Il n’y a pas d’art pour découvrir sur le visage les dispositions de l’âme ♥ Eléanore & Hélène | |
| Frida CallowayElève Connu ♪
♣ Messages : 459 ♣ Date d'inscription : 08/11/2011 ♣ Age : 25 ♣ Localisation : DANS UN TROU.
| Sujet: Il n’y a pas d’art pour découvrir sur le visage les dispositions de l’âme ♥ Eléanore & Hélène Mer 23 Nov - 14:17 | |
| ♥ IL N’Y A PAS D’ART POUR DÉCOUVRIR SUR LE VISAGE LES DISPOSITIONS DE L'ÂME ♥ La lumière de l'aube vient chatouiller les draps de tes camarades. Tu as pris le lit le plus éloigné des fenêtre, tu n'aimes pas la lumière la nuit, tu préfère dormir dans la pénombre. Le jour ce lève et toutes tes camarades dorment. Tu es réveillée depuis cinq minutes. Tu regardes le plafond, tu ne fais rien. tu tourne ta tête pour regarder ton réveil : 7 : 35. Tu sors un pied de ton drap violet : il ne fait pas froid. Tu sors donc l'autre pied, avec sûreté et tu te lèves. Tu as une tête à faire peur le matin, heureusement que tu te lèves tôt ! Tu mets tes pantoufles, quelque chose que tu fais toujours, à cause d'un petit accident alors que tu ne les avaient pas mises :
- Récit de l'accident:
Ce soir là, des amis de tes parent partaient. Tu n'avais pas envie de te coucher et tu suppliait tes parents pour qu'ils te laissent te coucher un peu plus tard. Tu sautillait comme une crevettesur le tapis de l'entrée, pieds nus. Soudain, quelque chose sous ton pied, tu t'en rends compte mais tu ne sais pas ce que c'est, tu appuie un peu plus avec ton pied gauche quand tout à coup, la douleur monte, une petite douleur mais tu dis à tes parents :
- Maman, Papa, je cois que j'ai marché sur quelque chose...
Tes parents se regardent. Tu sautille à cloche pied jusqu'au canapé et tu t'allonges tes parents regardent ton pied et ta mère file chercher le téléphone. Tu ne comprends rien. Ton père s'approche de toi et te prends dans ses bras. Tu t'emmène dans la voiture et tu files à l’hôpital. Ce n'est qu'un bout de verre, mais c'est embêtant... les médecins te prennent et te font respirer du gaz hilarant, tu est un peu déstabilisée mais tu vomit, ils proposent de recommencer mais tu, les arrête : tu veux en finir donc tu demande la piqûre. Après avoir crié, tu t'en sors entière, et depuis ce jour, tu n'oublie jamais de mettre tes pantoufles ! Tu regardes autour de toi, personne n'est levé. Une fille bouge dans son sommeil. Tu soupires et tu prends ta robe de chambre. Tu descends à pas de loups les escaliers et tu vas prendre un thé à la Cantine. Une fois ce thé terminé, tu retournes dans ton dortoir où, cette fois ci, quelques une de tes camarades sont réveillées. Tu fais la bise. Te douches & tu t'habilles. Tu annonce aux filles : J'y vais !. Quelques secondes plus tard, tu es dehors, dans le matin frais. Tu as pris un sac rempli d'objets de survie. Tu te rends à la ville. Tu veux changer d'air. Les rues sont presque vides. Tu respires l'air frais du matin. Tu regardes les rues vides & les commerces. Tu vois que le café est ouvert. Tu t'y rends. Une petite sonnette teinte et déclare ton arrivée dans l'enceinte du café. Tu prends une place. ♫♫♫ Tu n'as jamais aimé le café, même avec du lait. Ce gout amer qui reste sur les papilles te donnent l'envie de vomir. Malgré tout, tu te demande ce que tu fais dans ce café. Une serveuse arrive et te demande ce que tu veux, tu lui réponds que tu ne désire rien de particulier. Dès qu'elle est repartie, tu pose ta tête contre la vitre froide. Tu regardes avec de la nostalgie dans les yeux le dehors. Une larme coule sur ta joue et tombe sur la table, tu fermes tes yeux et tu attends que quelque chose se passe : soudain, la clochette re-tinte.
Obsession
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| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Il n’y a pas d’art pour découvrir sur le visage les dispositions de l’âme ♥ Eléanore & Hélène Lun 5 Déc - 11:45 | |
| Je n'avais pas pensé à faire mes exercices d'anglais, une matière que je détestais par dessus tout, et c'est lorsque que je me réveillai brusquement à quatre heure du matin, par la faute de mon réveil qui n'appréciait pas les changements de fuseaux horaires, que je m'aperçus que ma copie double, restée blanche, traînait sur mon bureau. Avec un soupir énervé, je commençai à m'atteler à la tâche, qui consistait à décrire mes vacances. Cela allait me causer un sérieux problème, car je n'étais jamais partie en vacances. J'aurais pu improviser, mais je ne saisissais pas trop le concept de "vacances". Je décidai en consultant ma montre que j'avais jusqu'à cinq heure pour m'y mettre, et, bien décidée à respecter cette limite de loisir que je m'étais imposée, je repris le magazine que j'avais posé au chevet de mon lit. Bien vite, je me rendis compte que j'avais déjà lus tous les articles hier soir, et que je ne parviendrai pas à me rendormir. J'étais énervée car je ne débutai les cours qu'à quatorze heure, et que je comptai profiter de cette aubaine pour faire la grasse matinée. Je me dirigeai sans bruit à la salle de bain, et j'entrepris de tresser mes longs cheveux noirs. Cela me prit bien une demi-heure, et il était cinq heure quand je regagnai ma chambre. Avec un soupir, je me dépêchai de griffonner quelques lignes incohérentes sur des vacances fictives en Amérique, dans un anglais douteux, puis j'inscrivis mon nom et ma maison sur la feuille que je glissai dans ma sacoche de cours. A présent, il était trop tôt pour faire quoi que ce soit, et je pris une douche, ce qui était une décision stupide vu que je dus me recoiffer ensuite. Mais il était sept heure et quelques, et je descendis à la cantine. Seulement, je n'avais finalement aucune envie d'y manger, et je remontai pour aller cherche mon sac. Je descendis de nouveau les marches, et me dirigeai vers la sortie de l'internat. J'avais envie de me balader en ville. C'était tranquille, tôt le matin. Il n'y avait pas grand monde dans les rues, et il y faisait froid. Je refermai les boutons de ma veste, et me maudis pour ne rien avoir pris de plus chaud. J'observai un café qui me paraissait assez joli, et plein de monde malgré l'heure matinale. J'y entrai. La sonnette retentit lorsque je poussai la porte, et je m’aperçus qu'il n'y avait pas de places dans la petite salle bombée. Tous les habitants de la ville semblaient s'être donnés rendez-vous pour se protéger du froid. D'un autre côté, c'était le seul café de l'allée. J'avisai une table occupée par une jeune fille d'à peu près mon âge, la tête posée contre la vitre embuée, l'air triste. Je la reconnais pour l'avoir déjà croisée dans les couloirs, et je m'approche timidement.
- Salut, dis-je un peu fort pour couvrir les bruits de voix. Ça te dérange si je m'assois là ? Il n'y a plus de place, ajoutai-je comme pour m'excuser.
J'attendis sa réponse, en l'observant. Elle était très jolie, avait des cheveux bruns bouclés, et des yeux violets, qui brillaient un peu trop, comme si elle avait pleuré.
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| | | Pétale J. Answer.Fondatrice Iris
♣ Messages : 2154 ♣ Date d'inscription : 05/11/2011 ♣ Age : 26 ♣ Localisation : Trapped in this fucking life ~
| Sujet: Re: Il n’y a pas d’art pour découvrir sur le visage les dispositions de l’âme ♥ Eléanore & Hélène Dim 4 Mar - 11:16 | |
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| Sujet: Re: Il n’y a pas d’art pour découvrir sur le visage les dispositions de l’âme ♥ Eléanore & Hélène | |
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| | | | Il n’y a pas d’art pour découvrir sur le visage les dispositions de l’âme ♥ Eléanore & Hélène | |
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