Ce matin là, j'étais dans une mauvaise journée, celle ou il ne t'arrive que des catastrophe je vais vous faire un topo :
1. Le réveil sonne trois heure trop tôt
2. Je me rendors et il ne sonne pas pour la bonne heure du coup je me lève trop tard
3. je rate le déjeuner (ça s'est le pire)
4. Je n'ai plus rien à grignoter dans ma chambre
5. Je me rends compte sur mon horaire que je commence la journée par deux heures de colle au lieu des deux heure libre que j'avais.

Bref, je décide de sécher les deux heures de colle que j'avais surement reçu pour avoir sécher et me dirige dehors à l'air libre. Je suis de trop mauvaise humeur pour voir la tête du surveillant qui ne m'apprécie pas plus que moi je ne l'aime. Je sors dehors et observe les lieux environnement, je travers les jardins me dirigant vers l'aérodrome, allez savoir pourquoi, j'avais une folle envie d'aller la bas. Peut-être était ce parce que je n'avais pas encore exploré la zone. Ou bien que c'était interdit sans permission. Je m'installai sur la pelouse près de la piste, regardant un peu plus loin l'avion qui était dans le hangar. J'avais quelques souvenir d'avoir lu un bouquin sur comment diriger un de ses engins et j'avais une soudaine envie de monter dans un avion et de survoler l'académie. Je me dirigeai vers l'appareil d'un pas décider et monter à l'avant. Le carburant était full et tout semblait parfaitement en ordre. J'hésitai un instant, qu'est ce qui me prenais de rentrer dans cet avion ? Je n'allais pas décoller ! Je ne l'avais jamais fait de ma vie !! J'était sur à 90% que j'alllais me cracher lamentablement et qu'on allait devoir récupérer mes morceaux par terre. J'allais sortir renoncant à cette idée folle quand je vis un type s'approché un peu plus loin, j'allais avoir de sérieux ennui....à moins que...j'appuiai sur quelques boutons et fit démarrer l'appareil. Je n'allais quand même pas faire ça !!? Apparemment si car j'accelerais sur la piste de décollage sous les yeux rond du type qui me hurlait de m'arrêter tout de suite. "Cause toujours" pensais-je. Les roues quittèrent le sol et l'avion monta doucement dans les airs, il était petit et assez maniable. Un bruit soudain me fit sursauter, quelqu'un se trouvait à bord, je n'avais aucun doute sur ça....

Michael était un élève sage, très sage. Mais le matin-même, il avait fait une petite bêtise.. Il avait juste cassé un vase, chinois, datant du 13e siècle, c'était pas grand chose... Mais un surveillant à quand même tenu à le poursuivre, heureusement pour Mike, il ne l'a vu que de dos et ne saurait pas le reconnaitre si il le voyait. Michael qui était très fort en athlétisme et surtout en sprint, couru de toutes ses forces dans la première direction qu'il voyait, de préférence avec personne ou peu de monde, et il décida d'aller vers l'aérodrome. Arrivé là-bas, il ne savait pas encore si le surveillant le poursuiver ou pas, et sans réfléchir, il monta dans un avion. Il pensait qu'il n'y avait personne dedans, c'était vrai jusqu'à ce qu'un gars blond -il ne le voyait que de dos- se mette au commande de pilote. Il était trop petit pouru être pilote, et Michael décida de s'approcher... c'était Zac ! De la maison des cygnes ! Il le supplia de s'arrêter mais Zac ne semblait pas l'écouter. Ça y est, ils avaient démarré.

- Zac, je t'en supplie, dis moi qu'on va pas se cracher et que tu sais PARFAITEMENT conduire cet engin ??!!

Il y avait définitivement quelqu'un derrière moi, en effet, Michael se tenait là l'air complètement paniqué. Oups, je venais de le fourrer dans un sacré pétrin le pauvre.

-Zac, je t'en supplie, dis moi qu'on va pas se cracher et que tu sais PARFAITEMENT conduire cet engin ??!!

Je répondis d'abord par une vanne puis par une aproximation sur mes capacités. Enfin, je veux dire que je lui prouvai mes capacités à voler sans nous tué lamentablement au sol :

- Il ne risque pas de cracher, il n'a pas de salive. Quand à ma capacité à conduire, regarde par toi même tu vois bien que je controlle la situation.

Je fais un signe devant moi lachant une manette pour lui indiquer que tous allait bien mais l'engin en profitait pour virer brusquement à droite et froller la cime d'un arbre nous secouant comme un prunier. Je la rattrapper et redressa l'appareil. Michael me regarda affolé je lui fit un sourire aux lèvres :

- Enfin...je contrôle presque tout !! Je sais faire du cheval, c'est presque la même chose à quelques exceptions faites.

Je me retourner vers lui mais l'avion partit en avant et je regardai denouveau devant moi pour qu'on évite de se planter sans même avoir eu le temps "d'éssayer" d'attérir. Je souriais mais en moi même c'était la panique. Est-ce que l'avion avait des parachutes quelques part ?? Je me concentrai pour m'élevé dans les airs, empêchant ainsi l'avion de froler tout ce qu'il trouvait et de se planter dans un arbre. Mes chances d'attérir passai de 0% à 1%, en effet, je commencais à me familiarisé avec la manette de l'appareil indomptable. Et bien !! Rien de tel que le pratique pour assimiler une technique. Mon coeur qui depuis la tantôt battait la chamade commencais à se calmer légèrement et je m'enfoncais dans mon siège, raffermissant ma prise sur la commande. Tout doux machine ! Tout doux !!

- Il ne risque pas de cracher, il n'a pas de salive. Quand à ma capacité à conduire, regarde par toi même tu vois bien que je controlle la situation.

Sachant que juste après avoir dit ça, il frôla un arbre, Michael n'était pas franchement rassuré de la situation, en fait, il aurait vraiment préféré avoir une ou deux heures de colle plutôt que de subir ça.

- Enfin...je contrôle presque tout !! Je sais faire du cheval, c'est presque la même chose à quelques exceptions faites.

Michael haussa un sourcil. Ba, après tout, ça devait être un cauchemard. Ça peut pas arriver des trucs comme ça, dans la vraie vie : un gars qui se fait pourchasser jusqu'à l'aérodrome, l'autre qui décolle et qui conduit comme à cheval, en fait, c'était un rêve, rien de plus. Michael hésitait quand même un peu : c'était un rêve vachement réaliste ! Il décidait de ne rien dire, de s'asseoir sur le siège et de faire un poème sur l'avion. Mais il n'y arrivait pas vraiment, il fallait dire qu'il était en plein stress. Il regardait la route, devant, et se demandait si il allait mourir aujourd'hui.

Mike s'assis dans le siège à côté de moi et me regarda d'un drôle d'air, il semblait en effet en état de choc. Il ouvrit un carnet prisun crayon, y posa la pointe de sa mine et resta ainsi immobile. Il finit par le ranger regardant la route devant lui. J'étais à présent sur et certain De mon incapacité à faire attérir cet engin. Je me levai et fit à Mike d'une voix calme et décontracté :

- Tient les commandes deux secondes tu veux ??

Je me levai et me dirigai vers l'arrière de l'avion farfouillant après quelques choses. Je finis endin par trouvé l'objet convoité et retournai au commande après avoir lancé ce qui ressemblait à un sac à Mike.

- Tient, simple curiosité, tu as déjà fait du fait du parachute ??

En effet puisque j'était incapable d'arrêter l'appareil, on allait devoir déserté. Dommage pour l'avion qui était sympa et n'avait rien demandé, surtout pas de se cracher sans pilote. Je trouvai enfin ce que je cherchai, un terrain abandonné assez grand pour " acceuillir " un avion. Je m'accrochai le parachute près pour le grand saut. Perso, je ne savais pas faire du parachute mais après tout, il y a un début en chaque chose. Je me passai la main dans les cheveux. Si on apprenait qu'il avait été dans cet avion, il aurait de sacré ennuis...

Zac se leva et lui demande de tenir les commandes. Michael le fit très bien, puisque l'avion ne s'était pas écrasé. Zac lui lança un sac et lui demanda, assez calmement.

- Tient, simple curiosité, tu as déjà fait du fait du parachute ??

Ben, en fait, Mitch' avait raison, Zac ne savait pas manier un avion comme un pilote pro. Enfin bon, Michael avait déjà fait du parachute, c'était super, sauf que c'était pas pour sauver sa vie. Lui qui voulait avoir des sensations fortes dans sa vie, on peut dire qu'embarquer dans un avion avec un pote, et sauter en parachute pour pas se tuer, c'est des sensations fortes. Michael se leva, mis le parachute et s'avanca vers Zac, pour le rassurer un peu, par ce qu'il voyait très bien que Zac, lui, n'en avait jamais fait.

- J'ai déjà fait du parachute, je vais t'aider.

Il se leva mit son parachute et s'approcha comme ppur me rassurrer avant de me dire :

- J'ai déjà fait du parachute, je vais t'aider.

Tant mieux. Bon beh... Je lachai les commandes et avec l'aide de Michael, ouvrit la porte coulissante. Le vent fouettait mon visage mais je n'y fis guère attention. Je m'approchai du bord avant de m'arrêter nette, paralysé par la peur. J'étais si haut... Mon camarade me poussa sans ménagement avant desauter à son tour. A partir delà tout alla très vite. Le vent fouaitait mon visage et je tombais à une vitesse ahurissante. Je tirai sur la lanière sensée délivré mon parachute mais elle semble coincé, je tire, je tiremais rien ne viens. Mon coeur bat et je me mets à trembler d'effroi. Pitié, ouvre toi !!! J'appercois l'avion attérir en grand fracas dans le terrain vide, fumant et prenant feu d'un seul coup. Mes doigts deviennent moite et je commence sérieusement à paniquer quand enfin cette stupide lanière se débloque. Mon parachute apparait au dessus de ma tête. Je pleure de soulagement, évacuant Le stress amacé. Un peu plus haut, Mike avait lui même ouvert son champignon géant. J'admirai le paysage vu d'ici, un léger sourire sur les lèvres. Le sol s'approcha lentement de moi et je me rapellai ce que mike avait dit sur l'attérissage.
Préparez vous à l’atterrissage, il est important que le corps reste bien droit pour éviter la chute ! Serrez bien vos hanches, regardez devant vous et vers le bas, les yeux à 45 degrés. Le premier contact avec le sol doit se faire avec le plat des pieds. Il doit y avoir une légère courbure avec vos genoux et Tenez également les coudes bien près du corps.
Je savais que je ne suivait pas tout parfaitement à la lettre mais.je faisais ce que je pouvais. Le sol se rapprocha jusqu'à ce que j'attérisse. Le choc fur violent, mes denta s'entrechoquèrent mais surtout ma jambe blaissé se tordit sur le tordant craquant sinistrement. Je poussai un juron serrant les dents. Je me redressai appuyant tout monpoids sur la jambe gauche et boitillant vers mon ami lui demandant :

- Est-ce que ça va ?

Après avoir ouvert la porte coulissante, Zac semblait quelque peu hésitant. Michael se décida à le pousser, sinon ils allaient se crasher avec ce satané avion. Michael sauta juste après Zac, et il le suivit à la trace, il vit que Zac avait du mal à ouvrir son parachute, mais au bout de quelques secondes il y arriva. Michael ouvrit alors le sien. Il se souvenait la première fois qu'il avait fait ce sport extrème. Il avait 9 ans. C'était pour son anniversaire, et il était tout seul, sans sa soeur, sans ses parents, seulement avec un accompagnateur -très gentil d'ailleurs-, le monsieur lui expliqua tout ce qu'il fallait faire, et Michael suivit ses instructions à la lettre. Il avait eu une sensation de liberté... Incroyable, tout simplement incroyable. Et pendant que le sol se rapprochait, Michael fit ce que cet accompagnateur lui avait appris. Et quand ils atterirent, la jambe de Zac se tordit et il se mit à boiter. Alors que c'était lui qui avait mal, Zac demanda :

- Est-ce que ça va ?

Michael fit la moue.

- Oui, mais tu n'as pas l'air de pouvoir en dire autant !

"- Oui, mais tu n'as pas l'air de pouvoir en dire autant !"

J'ignore sa remarque très pertinente et lui fit :

"- On ferait mieux de déguerpir d'ici, si on nous trouve près de l'avion de l'académie, on est foutu et c'est le renvoi définitif."

Et ouai, parce qu'après avoir fait le con cher Zac, il y a toujours des conséquences...Et si il se faisait pincer ce coup ci, il allait passer un sale quart d'heure. Il avait risqué sa place dans l'académie en faisant décoller cet avion et maintenant qu'il y réfléchissait, il s'en voulait énormement. Car c'était un risque qu'il ne pouvait courir s'étant promis qu'il deviendrait le meilleur danseur qu'ai jamais connu le monde. Enfin....je dois essayé quoi. Bref, je regrette terriblement ce que je viens de faire. Sécher les cours c'est une chose, voler un avion, s'en est une autre. Maintenant, il n'y a plus qu'à espérer qu'on ne se fasse pas coincé et que ils n'aient pas été assez intelligent pour rasssemblé tout les élèves, fair l'appel et voir ceux qui manque pour déjà avoir une idée de quel idiot a fait le coup et espérer qu'il ne sache pas que ce fut un élève auquel cas je serais fichu. Bon, premier étape, s'éloigner à tout prix d'ici. Je regarde les alentours. Il faut qu'on aille vers la ville, si on va dans la forêt et qu'ils nous cherchent, ils nous trouveront et on passera pas inapercu alors que dans un endroit bourré de monde...

"- On doit arriver en ville avant qu'ils ne recherchent le conducteur de l'avion !!"

Je dis ça pour Mikael et puis je me mets à courir dans cette direction, on plutôt à boitiller rapidement comme une espèce de patate, je peste contre ma jambe, si ça se trouve, à cause d'elle je vais devoir quitter l'académie !!